1. Une passion, une faiblesse


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, cocus, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... sur cet étage, et c’est avec soulagement que je continue plus bas mon travail.
    
    Onze heures. Paul et moi débauchons. Au bas de l’immeuble, quelqu’un semble attendre. Merde, c’est la femme ! Sans hésiter, elle se dirige vers nous.
    
    — Bonjour. C’est bien vous qui faites les travaux ?
    — Oui, je réponds un peu inquiet.
    — Vous êtes passé à mon étage, mais j’ai l’impression qu’il y a un problème.
    — Ah ?
    — Si vous avez un instant, je pourrais vous montrer.
    
    Comme je n’ai pas parlé de ce que j’ai vu ce matin à mon collègue, je m’empresse de dire :
    
    — Paul, ne m’attends pas, je vais aller voir avec Madame. Comme cela on corrigera demain s’il faut faire quelque chose.
    
    Il ne se fait pas prier. Je suis la femme dans l’ascenseur. Elle appuie elle-même à son étage. La montée est silencieuse. Je ne suis pas fier. Peut être que le mari m’attend là-haut pour me faire la leçon. En tout cas, j’espère que cela restera entre nous et qu’ils ne cafteront pas à mon patron. À la porte de son appartement la femme me signifie :
    
    — Ne faites pas de bruit, mon mari dort.
    
    Et en mettant la clé dans la serrure, elle ajoute :
    
    — Il est de poste la nuit.
    
    Cette précision me rassure. Au moins je n’aurai pas à subir le mari.
    
    Sans bruit elle me guide vers la cuisine. J’imagine que c’est la pièce la plus éloignée de la chambre.
    
    — Vous savez pourquoi je vous ai demandé de venir ; bien sûr, ce n’est pas pour votre travail.
    — J’imagine…
    — Ce matin, vous nous avez vus, n’est-ce pas ? ...
    ... Oh, je ne sais pas pourquoi je vous pose la question, je sais que vous avez regardé, n’est-ce pas ?
    
    Pourquoi nier ?
    
    — Oui. Je n’aurais pas dû, mais les affiches préviennent bien de notre présence, alors…
    — C’est extrêmement gênant. Cela me met dans une situation délicate.
    
    Je me pense en mon for intérieur que la position délicate, c’était tout à l’heure. Mais elle continue :
    
    — Vous comprenez, je ne voudrais pas que mon mari l’apprenne.
    
    Mais de quoi elle parle ?
    
    — Vous voyez, il travaille de nuit et ne rentre qu’à 8 heures. Alors…
    
    La lumière se fait dans mon esprit. Tout à l’heure, ce n’était pas son mari. Bien sûr que non, il travaillait. Donc elle couchait avec son amant. C’est son amant que j’ai vu.
    
    — Alors, vous ne lui direz pas ?
    
    Lui dire, mais je m’en fous, moi, qu’elle couche avec un autre. Si elle ne m’avait pas parlé, je ne me serais même pas posé la question. Le couple aurait juste été un couple marié qui baise dans son salon, et c’est tout.
    
    Mais comme je ne réponds pas, elle insiste :
    
    — Si vous ne dites rien, je pourrais…
    
    Et soudain, ses yeux brillent. Elle poursuit :
    
    — Oui, j’imagine que ce que vous avez vu a dû vous faire bander. Ce serait bien normal que je ne vous laisse pas dans cet état d’insatisfaction. Ainsi, pour oublier ce que vous avez vu…
    
    Elle s’approche de moi. Elle me pousse doucement, et je me retrouve contre la table. Déjà je sens ses mains qui s’attaquent à mon short. Elle le tire très vite. Le slip suit. Me ...
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