1. Deuxième soirée en boîte


    Datte: 14/04/2020, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... est raisonnable.
    
    Dieu, que c’est bon, une douche ! Surtout quand on est crevé. Je suis bien resté cinq minutes sous l’eau chaude pour savourer.
    
    Ensuite, nous avons pris notre repas au restaurant de l’hôtel. La patronne était aux petits soins. Elle était tout à fait baisable et je gardais dans un coin de ma tête de tenter au moins un flirt un peu poussé avec elle. Mais j’avais du mal à comprendre son comportement. Elle soufflait le chaud et le froid. Tantôt aguicheuse et engageante, tantôt renfrognée et sur la défensive.
    
    D’abord elle nous avait donné toutes les infos pour que nous puissions trouver un bon coup. Il semblait maintenant qu’elle nous désapprouvait. J’avais ensuite été surpris quand elle était apparue la veille quand je rentrais. Elle semblait curieuse du résultat de notre escapade, mais de là à m’interroger en pleine nuit en peignoir, il y avait un pas. Ensuite, elle s’était vite sauvée comme si elle regrettait d’avoir provoqué mes avances. Je pouvais très bien comprendre qu’elle ne souhaitait pas passer juste derrière une curiste quelconque ; mais d’un autre côté, mon aventure semblait l’exciter. Ce matin, elle semblait furieuse que Jean-Claude ait découché, et ce soir elle nous chouchoutait. Espérait-elle que nous n’y retournerions pas ?
    
    En tout cas, après cette remise en forme, nous étions à nouveau prêts à revoir nos conquêtes de la veille.
    
    — Bon, Jean-Claude, on y va. Il est déjà 22 heures ; le temps de monter…
    
    L’hôtesse nous rejoignit à ...
    ... la porte du restaurant :
    
    — Eh bien, bonne soirée. Vous rentrez tard cette nuit ? Ou pas du tout ?
    — Ça, on ne sait pas : ça dépendra des circonstances. Au plus tard, à demain matin.
    — Amusez-vous bien ! À demain, ajouta-t-elle, tout sourire.
    
    Il était bien 22 h 30 quand nous sommes arrivés dans la boîte. Jean-Claude trouva immédiatement son amie au bar et je l’abandonnai pour chercher Béatrice. Sans surprise, elle était à sa table habituelle. J’eus à peine le temps de lui effleurer les lèvres dans un baiser rapide qu’elle me faisait asseoir.
    
    — Tu arrives enfin… Je commençais à trouver le temps long !
    — Désolé, mais je t’avais dit que nous devrions travailler tard et gagner du temps pour ne pas terminer trop tard demain. C’est vendredi et nous repartons.
    — Je voudrais que tu restes pour le week-end.
    — Quoi ?
    — Oui, je voudrais que tu restes ce week-end.
    — Ben… C’est que ce n’est pas prévu comme ça, ma chérie. Je ne peux pas justifier auprès de ma boîte de passer le week-end ici ; et puis je reviens lundi. Tu seras là, lundi soir ?
    — Non : lundi, je serai partie. Je veux que tu restes. Viens danser !
    
    Sur ces mots dits d’une voix boudeuse, elle m’entraîna sur la piste dans le coin le plus sombre. De suite, elle dirigea mes mains vers son fessier et se pendit à mon cou en me massant la nuque. Je l’embrassai goulûment dans le cou, et elle se cambra en feulant. Je relevai sa courte jupe pour caresser ses fesses à même la peau. Elle n’avait pas mis de culotte ! ...
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