1. Deuxième soirée en boîte


    Datte: 14/04/2020, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... C’était le genre de surprise qui me mettait immédiatement en condition. Aussi je bandai ferme de suite.
    
    De son côté, elle entreprit d’ouvrir ma braguette et elle sortit ma queue qu’elle massa vigoureusement pendant quelques secondes, puis elle se laissa glisser à genoux et ses lèvres s’arrondirent autour de mon pénis qu’elle engloutit. Divine sensation. Sa bouche était chaude à souhait ! Elle entama alors une fellation en règle. Je n’avais pas une expérience universelle de ce type de jeu buccal, mais j’avais quand même eu quelques expériences dans ce domaine ; le plus souvent avec des filles qui ne voulaient pas se risquer à baiser. Et je dois avouer qu’avec Béatrice, ça dépassait tout ce que j’avais pu connaître avant. Depuis, l’âge et la pratique m’ont appris que les meilleures fellatrices le sont souvent parce qu’elles ont une véritable attirance pour le sexe masculin. Pas uniquement comme l’instrument qui sert pour baiser et se faire jouir, mais vraiment comme une chose vivante dont la simple vue leur donne une irrésistible envie de caresser et de sucer. La suite prouva que Béatrice faisait bien partie de cette catégorie.
    
    Sa bouche montait et descendait sur ma colonne de chair avec application. Elle me branlait littéralement avec ses lèvres, et sa langue venait exciter durement les terminaisons nerveuses de la base de mon gland. Très vite je sentis venir l’éjaculation. Je commençai par me retenir, mais sa succion se fit de plus en plus convaincante. Sentant que ...
    ... j’allais exploser, je voulus la stopper. Je tentai de la faire se redresser en la prenant sous les bras, mais elle résista.
    
    Je me penchai vers elle et tentai de l’avertir à mi-voix pour ne pas alerter les autres couples qui, en fait, avaient l’air d’être occupés à bien autre chose qu’à nous mater.
    
    — Arrête, Béa, je vais jouir !
    
    Si j’avais voulu qu’elle redouble d’efforts pour me faire exploser, je n’aurais pas fait mieux. Elle se déchaîna sur mon gland, et d’un coup ma résistance céda. Je me mis à décharger à longs jets. C’était divin ; j’en avais les jambes en coton, et de la main je m’appuyai sur son épaule pour ne pas tomber. Sa bouche ne quitta pas mon sexe avant d’avoir avalé la dernière goutte. Ça non plus, pour moi, ce n’était pas habituel. Souvent la fille qui suce abandonne le bout dès les premières gouttes et laisse le sperme s’épancher où ça peut !
    
    Elle se releva après m’avoir consciencieusement léché les dernières traces sur le gland.
    
    Quand j’eus remis de l’ordre dans ma tenue, elle me prit la main et me ramena vers notre table. Sitôt assise, elle fit un geste d’appel vers l’entrée de la salle, et dans la minute qui suivit, un serveur nous apporta deux flûtes de champagne.
    
    — J’adore boire un peu de champagne après ! dit-elle avant de vider la moitié du verre.
    
    Puis elle jeta ses bras autour de mon cou et me murmura à l’oreille :
    
    — Branle-moi, mon chéri, branle ma chatte et fais-moi jouir, j’en ai envie…
    
    À cette époque, je n’avais pas non plus ...
«1...345...9»