1. Deuxième soirée en boîte


    Datte: 14/04/2020, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :En stage avec mon copain Jean-Claude, nous avons la chance au cours d’un déplacement de passer une soirée dans une boîte bourrée de femmes à la recherche d’un amant. Après une première tentative ratée, j’emballe Béatrice, une bourgeoise friquée que je baise sur place. Jean-Claude ne revient que le lendemain matin…
    
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    Jean-Claude avait des poches sous les yeux et ne me paraissait pas très frais.
    
    — Ah, mon pauvre vieux… Je suis crevé ! Je suis tombé sur une ruineuse de santé, tu ne peux pas savoir ! J’ai baisé toute la nuit…
    — C’est vrai que tu n’as pas l’air de quelqu’un qui a passé une bonne nuit de sommeil… Raconte.
    — Attends-moi, je vais me raser et je viens pour manger un morceau. Je reviens.
    
    Il se dirigea vers sa chambre, croisant l’hôtesse qui apportait un pot de café.
    
    — Eh bien, dites donc… Il n’a pas l’air très frais, votre copain.
    — Pas très, non ! Je ne pourrai pas trop compter sur lui aujourd’hui.
    — Il rentre seulement ? Il a dormi ailleurs ?
    — Dormi, dormi… Je ne suis pas sûr qu’il ait beaucoup dormi ! Couché, ça oui.
    — Décidément, vous êtes deux sacrés oiseaux ! Je me demande pourquoi vous avez pris une chambre ici : vous pourriez vous faire héberger par vos conquêtes.
    — Hé, doucement ! Moi, je suis rentré. Tard, d’accord, mais…
    
    Sans répondre, elle me tourna le dos et disparut vers l’office.
    
    Une demi-heure plus tard, mon Jean-Claude, un peu moins chiffonné, apparaissait.
    
    — ...
    ... Prends un ou deux croissants et on va sur le chantier, on est déjà très en retard.
    
    Compte tenu des quelques heures de sommeil que j’avais pu avoir, mon ardeur au travail était pour le moins émoussée. De son côté, Jean-Claude avait encore plus de peine que moi à se tenir éveillé. La pause de midi fut la bienvenue. Manger nous réveilla quelque peu, et mon copain put enfin me raconter la soirée qu’il avait vécue.
    
    — Je n’étais pas dans la boîte depuis cinq minutes que je t’ai perdu de vue. J’attendais que tu reviennes, et puis une femme est venue me demander du feu. Même si je ne fume pas, j’ai toujours un briquet sur moi et je me suis empressé. Elle m’a pris les mains dans les siennes pour approcher sa cigarette de la flamme, et l’allumage a duré longtemps. J’en ai profité pour loucher sur ses seins malgré la pénombre, car elle avait un chemisier très largement décolleté qui, lorsqu’elle se penchait en avant, laissait voir ses deux nichons presque entièrement. En plus, elle me regardait d’un air langoureux en se redressant. C’était une invite sans ambiguïté. Du coup, je n’ai pas hésité à me présenter et à lui demander son prénom. Pour te résumer, elle s’appelle Catherine, elle est brune aux yeux verts, environ quarante ans, une poitrine à faire damner un saint ! Alors moi, tu penses… Elle a un peu de ventre. Par contre elle a aussi des fesses superbes. Elle est professeur de français dans un collège de bonnes sœurs. À la première danse, nous avons tout de suite flirté comme des ...
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