1. Deuxième soirée en boîte


    Datte: 14/04/2020, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... malades, et dès que j’ai mis ma main entre ses cuisses et empoigné sa chatte, elle m’a proposé de continuer notre conversation dans sa chambre. Tu penses si j’ai accepté ! Après… Après, ça a été le festival. Quelle boulimique ! Je ne sais pas si toutes les profs chez les bonnes sœurs sont comme ça, mais si elles exercent leurs talents au boulot, ça doit être un sacré feu d’artifice ! On a baisé sept ou huit fois. Après chaque reprise, je me couchais sur le côté pour dormir, elle venait caler son cul contre ma bite, et tout doucement elle se mettait à bouger, à se frotter. Elle a un cul à faire péter les boutons de braguette. En plus, sa peau est d’une douceur… Je ne te dis que ça. Avec ce traitement, je me remettais à bander aussi sec ! Dès qu’elle sentait mon engin grandir, elle passait les mains dans son dos et me branlait un peu. Ou alors elle se retournait et me suçait le bout. Tu penses… Et paf, c’était reparti ! On a tout fait. C’est une vraie encyclopédie du sexe, cette nana. Je l’ai baisée de toutes les manières : à la missionnaire, en levrette, elle m’a chevauché, je l’ai enculée, elle a voulu que je jouisse entre ses seins, elle m’a sucé à fond… Tout, quoi ; et j’en oublie sûrement. Elle m’a vidé ; littéralement vidé ! Et toi ?
    — Ben moi, j’ai trouvé une partenaire ; mais c’est incroyable : je croyais avoir eu du bol, mais avec ce que tu viens de me raconter, ce n’est pas du bol ; c’est la norme… Ce patelin, c’est un nid de femelles en chaleur, ma parole !
    — Je ne ...
    ... sais pas. Pour moi en tout cas, la première invitation, ça a été la bonne. Toi aussi alors ? Raconte.
    
    Je détaillai ma soirée à Jean-Claude. À côté de lui, j’avais l’air un peu court en performances, mais je n’en étais pas vexé pour autant car mon copain avait la réputation d’avoir un six-coups, voire plus dans les grands moments. Et là, il semblait bien qu’il soit tombé sur quelqu’un qui pouvait lui tenir tête.
    
    — Tu y retournes ce soir ? Moi, j’ai rancart avec ma dévoreuse de santé ! conclut Jean-Claude. J’espère simplement qu’elle sera toujours aussi vorace. Je me régale ; qu’est-ce que je me régale !
    — Moi aussi, la mienne m’attend. Mais on monte avec la camionnette cette fois. On se garera à l’écart. J’ai pas l’intention de refaire le coup d’hier soir. Toi, tu peux rester coucher, mais moi, pour l’instant, j’ai pas accès à la chambre ; et de toute façon, elle m’a prévenu que ça ne pouvait pas être pour toute la nuit… Mais avant ça, il y a le boulot ! En plus, si on veut finir pas trop tard vendredi, faut qu’on en mette un coup.
    
    Et malgré notre fatigue, nous avons bossé comme des malades. Nous n’avons pas quitté le chantier avant 19 h 30. Qu’est-ce que ça ne fait pas faire, les nanas !
    
    Nous sommes rentrés directement à l’hôtel, où la patronne semblait nous attendre :
    
    — Alors les jeunes, vous partez tout de suite ou vous mangez là ce soir ?
    — On va prendre une bonne douche ; et après, si vous voulez bien nous servir, on va dîner chez vous.
    — Ah ! Voilà qui ...
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