Découverte avec une amie de ma mère
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
inithf,
Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe
... simple mouvement des paupières, elle reprend son effeuillage et va s’attaquer aux fermetures métalliques du porte-jarretelles noir.
— Non, s’il vous plaît… gardez-le…
— Bien, voilà c’est fait… Vous m’avez vu, le spectacle est fini, vous allez pouvoir me laisser me rhabiller, lance-t-elle. Puis après un silence… Vous n’imaginez tout de même pas que je vais aller plus loin. Vous n’êtes qu’un enfant et le reste exige un carré blanc… Bonne nuit mon petit… le marchand de sable va passer
Cette dernière parole et le geste qu’elle esquisse en se penchant vers sa jupe… c’en est trop.
Humilié par le dédain de son ton et le mépris qu’elle affiche, je me rue sur elle. Profitant qu’elle est baissée pour reprendre sa jupe, je la pousse vers le fauteuil sur l’accoudoir duquel elle se plie. La vision de ses fesses tendant la soie noire de sa culotte me redonne une vigueur que je ne contrôle plus. Sourd à ses cris étouffés, à ses plaintes, je la maintiens d’une main par la nuque et empoigne sa culotte que je tente de baisser. Charlotte se débat et arrivée à mi-cuisse la soie ne résiste pas à la traction. Le bruit du tissu se déchirant décuple mon excitation. La splendeur de ses fesses d’une blancheur lourde d’albâtre s’épanouit dans la pénombre. Je me mets à genoux derrière elle. Insensible aux propos incohérents qu’elle grommelle j’écarte d’une main ses cuisses et les maintenant avec mes genoux. Mes doigts s’enfoncent dans la fourche de ses jambes, écartent les replis de ...
... chairs humides. De mon autre main, je dirige mon jeune sexe tendu, me fraye un chemin et m’enfonce dans son ventre avec une facilité qui me désarçonne.
Charlotte ne parle plus, crispée, tendue comme un arc, elle pousse contre toute attente ses reins à la rencontre de mon ventre. Pendant plusieurs minutes nous luttons en une joute charnelle de plus en plus complice. Nos souffles à l’unisson résonnent dans la pièce maintenant plongée dans le noir. Sous le choc des assauts nos corps glissent sur le tapis où ils se mêlent dans une parodie inconsciente de lutte. Bras, bouches, cheveux, ventres… nos chairs s’entremêlent, s’épousent, se repoussent, fusionnent en une brutale mais délicieuse union. Sentant, le plaisir jaillir de mes reins, Charlotte se raidit sans un mot, se tend à se rompre et, ensemble, sans un mot, nous éclatons en une jouissance interminable qui nous laisse tout aussi exténués, repus.
Allongés sur le tapis, devant les quelques braises de la cheminée, Charlotte caresse, en signe d’apaisement, mon visage trempé de sueur ; puis elle se lève la première et, accroupie sur mon ventre, pose un baiser sur mes lèvres…
— Je vais partir… maintenant, attendez, un peu, reposez-vous, vous êtes fatigué… mais ne vous endormez pas… promis ?
Puis se penchant à mon oreille.
— Je vais vous faire un aveu… j’avais envie de vous depuis le début, mais je ne voulais pas avoir l’impression de violer un jeune homme… Alors j’ai joué ce jeu de la provocation… Rassurez-vous, mais ...