Découverte avec une amie de ma mère
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
inithf,
Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe
... fige et une lueur sombre traverse ses yeux. Elle feint la stupeur avec un talent rare.
— Vous n’y pensez tout de même pas Pierre. Vous pensez être crédible ? Allez, cessez vos enfantillages…
Elle esquisse un mouvement pour se relever tout en reboutonnant son chemisier.
— Je ne plaisante pas Charlotte ! Si vous ne m’obéissez pas, je dis tout à mes parents… Dans le doute, de toute façon, ils vous éloigneront de la maison… Et puis, cessez de me prendre pour un petit ado imbécile…
— Mais enfin Pierre, vous imaginez le scandale ? Vous pensez à ce que cela implique d’humiliation pour moi ? Laissez-moi partir maintenant, cela suffit.
La voix de Charlotte s’est faite plus douce, presque plaintive… Je tente de contrôler une sourde impression de victoire, de ne pas laisser transparaître le sombre trouble qui m’agite.
— À mon tour de jouer, que cela vous plaise ou non ! Levez-vous !
L’air vaincu, avec une réticence évidente, ignorant la main que je lui tends, Charlotte se lève avec une rare et digne élégance. Elle est maintenant debout devant moi. Jusqu’où aller… j’hésite un peu et pourtant je sens que tout est possible. Elle se tient devant moi, un peu raide, avec cet air condescendant de bourgeoise, sûre d’elle et dominatrice.
— Et alors ?… Vous êtes content… ça y est, vous avez fini votre caprice de petit mâle frustré…
Ces dernières paroles cinglantes me font l’effet d’un coup de fouet. Ah ! Elle veut jouer à ce petit jeu… elle n’a rien compris… je vais lui ...
... rabaisser son caquet à cette pimbêche.
— Je n’ai pas fini mon petit caprice, comme vous le dites… et je vais vous le prouver… Enlevez votre veste s’il vous plaît !
— Et s’il ne me plaît pas…
— Je suis sûre que votre meilleure amie, qui est aussi ma mère, sera très choquée par le récit de cet après-midi, raconté les larmes aux yeux, cela s’entend…
Sans un mot mais les yeux plantés dans les miens, elle commença à défaire les boutons de son tailleur. Sans attendre mes injonctions dont je prépare soigneusement l’expression, elle l’a fait glisser le long de ses bras et la dépose délicatement sur l’accoudoir du fauteuil, avec un naturel parfaitement maîtrisé.
— Continuez par le chemisier…
Charlotte a planté un regard assassin dans le mien… Elle ne dit plus un mot mais je crois lire dans ses yeux une colère rentrée qui ajoute au trouble de la situation.
Je suis maintenant ses doigts qui glissent les boutons hors des boutonnières. Elle a fait sauter le dernier et maintient les pans de son chemisier croisés comme un rempart protégeant sa pudeur.
— Enlevez-le aussi, Charlotte, vous me ferez plaisir !
Je commence à avoir un peu honte de cette situation, malgré la certitude que la vengeance est justifiée. Sans se départir de l’arrogance qu’elle affiche, elle écarte les pans de son chemisier blanc et avec la même élégante retenue, elle le dépose soigneusement sur la veste.
Celle qui m’a défié est maintenant devant moi, en soutien-gorge. Quand je pense que j’ai ...