1. Découverte avec une amie de ma mère


    Datte: 13/04/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, inithf, Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe

    ... attendu chaque semaine sa venue pour un simple regard jeté dans l’échancrure et son chemiser est là… Elle est là, offerte devant moi.
    
    Mes yeux incrédules se repaissent du simple spectacle de ces seins à moitié recouverts d’une dentelle noire qui tranche avec la blancheur laiteuse de la peau de Charlotte. Mes yeux suivent avec une délectation à peine dissimulée la courbe des demi-sphères de chair qui émergent du tissu noir.
    
    — Continuez !
    
    Nos échanges vocaux se résument maintenant à ce simple mot : continuez !
    
    Charlotte semble encaisser le coup avec un contentement que je ne comprends pas.
    
    Sans un mot, elle passe ses mains dans son dos et dégrafe avec habilité l’attache du soutien-gorge. Elle ramène ses mains, entraînant avec un art consommé les bonnets qui libérèrent les globes de ses seins. L’apparition de cette poitrine si souvent épiée me remplit d’un bonheur insoupçonné. Dans la pénombre de la pièce son torse fait une tâche blanche, rehaussée par le gris sombre de la jupe.
    
    La poitrine de Charlotte est pour moi une merveille. Rien à voir avec les pommes et poires vertes des adolescentes de mon âge que j’ai maladroitement et goulûment pressées lors des interminables séries de slows de nos boums d’été.
    
    Ni trop gros, ni trop petits, ils ont la touchante maturité de leur âge. L’aréole plus sombre fait tache sur le blanc de la peau. Je m’approche et tends les mains pour les cueillir. Charlotte ne bouge pas, seul un frémissement à peine perceptible parcourt ...
    ... son corps. Je caresse avec délectation les globes opalins, m’enivrant de leur souplesse et de leur tiédeur. Mes mains en coupe les soulèvent tandis que mes pouces en agace la pointe qui durcit sous la caresse. Charlotte a fermé les yeux, je vois ses paupières frissonner. J’ai le sentiment incertain qu’elle prend plaisir à cette caresse. Elle se laisse faire… son souffle s’accélère. Un nœud se noue à nouveau au creux de mon ventre et réveille la raideur qui m’avait quitté.
    
    — Cela suffit maintenant, lança-t-elle subitement avec sécheresse en tentant de me repousser.
    
    Charlotte semble reprendre conscience et se rebiffer.
    
    — Vous avez eu ce que vous voulez, alors maintenant cessez vos gamineries ! Vous n’êtes qu’un petit sot…
    — Ah non… cela ne fait pas le compte ! Je suis désolé, vous allez devoir boire le verre jusqu’à la lie. Le petit sot n’en a pas fini… Vous savez ce que vous risquez… Vous avez horreur du scandale… vous avez raison. Moi aussi… Continuez, la jupe maintenant !
    — Très bien, je vois… continuons mais vous avez intérêt à être à la hauteur !
    
    Charlotte prend brusquement la ceinture de sa jupe et la fait tourner, amenant la fermeture éclair sur le devant. Sans attendre que je dise quoi que ce soit, elle défait l’agrafe et fait descendre lentement mais sans hésitation la fermeture éclair. Sans un regard, elle la laisse tomber à ses chevilles et de la pointe d’un escarpin la repousse négligemment.
    
    — Je suppose que vous voulez que je continue…
    
    Sur un ...