... Affinités
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
fh,
copains,
gros(ses),
groscul,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... est venue empoigner mes cheveux. Elle presse ma tête et tire mes cheveux, alternativement. Elle est perdue. Pousse encore des cris, halète, gémit, prononce des paroles sans suite. Je continue un peu et j’arrête subitement. Je regarde son visage. Ses yeux sont fermés, fortement ! Ses joues sont rouges, et sa bouche est ouverte, hésitant entre le sourire et la pâmoison. Je la laisse reprendre son souffle, un petit moment.
Quand elle rouvre les yeux, je vois que ceux-ci brillent. Je lui redis, encore et encore, avec les miens combien je l’aime !
Je vais chercher sa main droite, abandonnée au-dessus de sa tête, la caresse, la porte à ma bouche, l’embrasse et la pose sur ma nuque. Je lui souris. Elle hésite, ne comprend pas, de prime abord. Mais elle finit par comprendre. On dirait qu’elle espère et redoute ce qui va découler de son acceptation. Elle relève son bras gauche et pousse mon visage dans son creux. Pour changer un peu, j’use cette fois-ci de ma tendresse, j’en aurais toujours à revendre pour elle. Mais, pour ne pas faire de jalouse, elle finit par subir le même traitement que l’autre aisselle. Ses réactions ont été tout aussi fougueuses.
Ma bouche n’a pas encore goûté à ses seins, alors je dirige mes baisers vers le plus proche, en saisis le téton entre mes lèvres, le tète. Puis j’entrouvre mes lèvres pour prendre l’arrondi de son sein, fais tourner ma langue sur son aréole. J’en sens le granuleux avec les aspérités de ma langue. Je déglutis afin d’assécher ma ...
... bouche, et me met à lécher son mamelon, en prenant tout mon temps, la langue bien à plat. Son souffle, qui s’était un peu calmé, après que j’ai fini de torturer son aisselle gauche, s’est affolé de nouveau. Je sens les battements de son cœur pulser de plus en plus vite, jusqu’à l’intérieur de ma bouche ! Je ne mens pas, je suis tellement à l’écoute de ses réactions !
Comme je ne veux toujours pas faire de jaloux, son autre sein ne tarde pas à bénéficier de la même attention. Des petits signes me disent qu’elle apprécie. Elle se crispe, par moment, ne sait pas quoi faire de ses mains. Je les sens tantôt dans mes cheveux, d’autres fois, agrippées à mes épaules, à mon dos. Elle a recommencé à pousser de petits cris, et des gémissements.
— Oooh, Fred… Hhh… arrête… aaah… tu vas me tuer !…
— Mais non, laisse-toi aller… Tu n’en mourras pas !
Je rie dans ma tête ! Comme si je pouvais m’arrêter… elle en a de bonnes ! J’vais plutôt l’achever, oui !
— Si tu me redis, maintenant, d’arrêter alors, d’accord, j’arrêterai…
— …
— Tu ne veux pas connaître la suite des réjouissances, plutôt ?
Elle ne répond pas et comme silence égal acquiescement…
— J’adore tes nichons, mon ange !… Mais d’accord, j’arrête !
Je prends ses seins dans mes mains, les caresse, puis les pétrie. Elle ne parle toujours pas. Je pince ses mamelons, les fait tourner légèrement, tire dessus en veillant à ne pas lui faire mal. Juste à l’agacer un peu plus. En même temps, j’ai dessiné de mes baisers ...