... Affinités
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
fh,
copains,
gros(ses),
groscul,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
…
Bon ! si j’étais à votre place, je me dirais, juste avant "d’ouvrir" ce nouveau texte : "allons retrouver l’éjaculateur précoce !" Ne mentez pas, je vous vois venir !… sauf que… je ne suis pas DU TOUT comme ça, c’est même plutôt le contraire !… d’accord ? et, je vous vois encore venir, je ne me vante pas ! Mais, mettez-vous à ma place une seule petite minute ; qu’est-ce qui aurait pu me faire croire que nous allions en arriver là ?…
On continue ?…
…
… Je n’ai jamais été aussi sincère.
Charlie a ouvert de grands yeux. Puis, ils se sont embués. Alors, elle m’a sourit. Un petit sourire, d’abord, puis il s’est répandu à tout son visage, le déifiant jusqu’à m’en bouleverser au plus profond !
— C’est vrai, Fred ?
Elle m’a posé cette question juste avant d’avoir un sanglot. Je n’y ai pas répondu : en vérité ce n’en était pas une. Je voyais dans son regard qu’elle le savait déjà. J’ai juste fait comme elle, quelques instants auparavant : j’ai léché ses larmes sur ses joues. Je l’ai embrassée sur tout le visage. Le front, les sourcils, les yeux, le menton, les tempes, et j’en passe… dans le désordre !
— Charlinette ?!…
— Oui, Frédichounet ?
— Tu sais où on en était resté, avant que tu ne m’interrompes ?
— Mais eeuuuh !…
— Tu ne t’en rappelles plus, c’est ça ?
— non… t’es méchant !… tu te moques encore de moi ?!…
Là encore, elle ne croit pas une seconde à ce qu’elle dit. J’ai toujours envie de jouer avec ses nerfs. C’est à cause de la joie que nous ...
... ressentons. Son bonheur à elle ! J’ai craqué en grande partie grâce à ça. Je prends conscience que je ne veux plus JAMAIS la voir triste !
Souvenez-vous : elle est allongée sur le dos, je suis agenouillé entre ses jambes écartées. Il ne s’est pas passé plus de quelques minutes depuis que je lui ai dit que je partageais ses sentiments. Elle ne voit pas mes mains quitter mes genoux, nous ne nous quittons pas des yeux. Quand je pose mes mains sur son ventre, juste au-dessus de la touffe de son pubis, ses lèvres s’entrouvrent mais aucun son n’en sort. Juste une grande aspiration, comme si elle manquait d’air, tout à-coup. Son ventre est un peu mou. Mais, je sens ses muscles jouer, sous sa peau.
— Tu veux me masser le devant, Fred ?
— Non.
— …
— Je ne te masserai plus, ce soir !
Elle n’y comprend plus rien. Mais, en même temps, comme mon sourire ne quitte pas mon visage, elle n’est pas trop inquiète ; juste le doute qui passe un court instant sur son visage.
— Qu’est-ce que tu veux, alors ?
— Non, c’est toi qui doit me dire ce que tu veux !
— Je ne comprends pas…
— Tu dois me dire, sans détour, ce que tu aimerais que je fasse, maintenant !
— Mais… pourquoi ?…
— Charlinette. Je ne voulais pas te dire que je t’aimais… je ne l’ai jamais dit à personne !… Ça fait trop peur, de dire ça !… c’est tellement… énorme !
— Fred, c’est toi qui me fait peur ! Mon chéri, tu n’avais pas besoin de le dire, tes yeux parlent pour toi.
— D’accord ! Mais, Charli, écoute-moi bien… Je ...