1. ... Affinités


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, copains, gros(ses), groscul, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... Charlotte…
    — …
    — Tire la langue !…
    
    Elle est au-delà de toute discussion, se contente de faire ce que je désire. Je prends sa langue entre mes lèvres. Puis la lèche avec la mienne. Et à nouveau, la lui suce, tout doucement. C’est une véritable fellation que je lui prodigue ! Elle continue de haleter, et de gémir. Et de se cramponner à mon dos. Ah, elle en voulait, de la tendresse, et bien, en voilà !
    
    Quand je sens ses ongles s’enfoncer dans mon dos, et le lacérer, je ne peux faire autrement que de m’arrêter !
    
    — Aïe ! Charli… s’il te plait !…
    — Non, n’arrête pas !
    — Mais, aïïeuuuh ! Tu m’arraches le dos… Stop !
    — Oups !… pardon !
    
    Je ne lui en veux pas. Je me redresse, à nouveau agenouillé entre ses jambes. je lui souris. Mais, mon sourire change, devient fourbe… pervers plutôt !… Je pose mes mains sur ses cuisses. Ça a l’air de l’amuser, elle sourit aussi. Ses yeux brillent.
    
    — Charli…
    — Oui, mon ange ?!…
    — Je peux faire ce que je veux ?
    — Qu’as-tu en tête, espèce de cochon ?…
    
    Elle n’a pas répondu mais je vois bien qu’elle est d’accord. Alors, je fais doucement remonter mes mains sur ses hanches, son ventre, jusqu’à atteindre ses seins.
    
    — D’accord ! Tripote-moi, puisque c’est ce que tu veux !
    
    Puis elle éclate de rire.
    
    — C’est vrai, je peux ?
    — Tu vas me faire attendre longtemps encore ?…
    
    J’ai deux mains, une pour chaque sein ! La nature est bien faite, hein ?!… Alors, je m’en sers ! Je commence par de légers effleurements de la paume, puis ...
    ... des doigts, de leur pulpe. C’est vraiment une merveille, ses seins ! Ils sont à la fois souples et fermes. Mes caresses changent un peu. J’appuie un peu plus, les lui malaxe, les doigts écartés. Son souffle s’emballe un peu. Mes mains s’égarent un tantinet sur le haut de sa poitrine, ses clavicules, ses épaules. Elle frissonne. Quand elle sent mes mains sur les côtés de son thorax, près des aisselles, elle ne peut réprimer une contraction.
    
    — Non !… Ne me chatouille pas !…
    — Mais, je n’en ai pas l’intention !… Aies confiance !
    
    Elle se détend à nouveau. Elle a transpiré un petit peu ici. Je fais glisser, doucement, mes mains sous ses bras. Elle est toute molle, abandonnée. En venant me coucher sur elle et épouser son corps, je remonte ses bras de part et d’autre de sa tête. Oh, je vois bien l’amour qu’elle éprouve pour moi, dans son regard !… Même si une pointe de question danse sur son visage. J’ai envie de sa bouche, mais je lui donne juste un petit "smack", pour la rassurer.
    
    L’instant d’après, ma bouche se retrouve, comme par magie, sur son aisselle droite. Je me suis jeté dessus. Comme un morfale ! Je lui lèche celle-ci, comme si ma vie en dépendait ! La sueur dans ses poils ne me gène nullement, bien au contraire ! Un nectar ! Complètement désarçonnée par ce revirement, elle pousse des petits cris de souris que je trouve adorables. Je fais donc durer cette torture ! jusqu’à la rendre folle ! Je la mords tendrement, et la lèche… et mordille encore. Sa main gauche ...