1. On ne s'attache pas


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo, attache, extraconj, Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... des doigts ! »
    
    — Parfait. Reste bouche ouverte. Je veux pouvoir te prendre par où je veux, à n’importe quel moment.
    
    Puis une pointe fine comme la mine d’un stylo passa le long de ma jambe, courant sur mon ventre, ma poitrine, tournant autour de ma taille, provoquant mille et une chatouilles. J’espérais que ça n’était pas vraiment un stylo, notre accord excluant les marques pour nos partenaires officiels respectifs. Les passages étaient tantôt lents, tantôt vifs, tantôt légers et tantôt appuyés. Toute ma conscience était dans mon corps, suivant chaque parcelle de ma peau touchée par son instrument flirtant avec un téton, traçant une ligne imaginaire sous un bras… Un frisson dans le cou me fit lâcher prise et l’objet dans ma bouche tomba à terre.
    
    — On ne fait pas tomber le fouet.
    
    Polo s’empressa de faire claquer les lanières sur mes fesses, tandis que je bredouillai des excuses, insistant sur les zones les plus sensibles. Un gémissement m’échappa. J’étais à la limite de la douleur, une douleur supportable, mais je n’avais pas envie de jouer les dures.
    
    Polo s’éloigna encore. Bruit d’eau du robinet.
    
    — Tu as chaud ?
    — Oui, avouais-je.
    
    Deux mains glacées agrippèrent mes seins pour les malaxer. Je criai de surprise à ce contact brutal tandis que l’eau froide ruisselait le long de mon ventre et de mes jambes. Une fois que les températures de nos peaux furent équilibrées, il retira ses mains et m’embrassa à pleine bouche. N’y tenant plus, je relâchai ma ...
    ... posture et aspirai sa langue, concentrant tous mes efforts dans ce baiser mouillé.
    
    — Pas trop, fit-il en caressant ma joue. C’est moi qui t’embrasse.
    
    Je fis la moue. En quoi exprimer mon désir était mal ?
    
    Une tige métallique vient se poser sur mon téton droit, devenu tout dur sous l’effet du froid. Polo s’affairait, pinçant, enroulant je ne sais quoi sur mon aréole, pinçant à nouveau… Le sein gauche subit le même traitement. Pas de jaloux.
    
    — Bouge un peu pour voir.
    
    Un léger tintement de cloche résonna.
    
    — Encore, ordonna-t-il.
    
    Je me mouvais du mieux que je pouvais.Pas encore prête pour le cabaret burlesque, pensai-je.
    
    — J’avais prévu de ne te toucher qu’avec des objets durs et froids, mais tu es trop bandante.
    
    Il inséra un doigt dans ma bouche et l’enduisit précautionneusement de salive, puis il écarta une de mes fesses et l’introduisit lentement avant de faire quelques va-et-vient délicieux. Les cloches continuaient de tinter au bout de mes seins.
    
    — Je te veux entièrement à moi.
    
    C’était à la fois agréable et épuisant : je ne tenais plus sur mes jambes.
    
    Il m’entoura de son bras et entreprit de me détacher du plafond pour m’agenouiller, laissant mes poignets liés. Il délivra également mes tétons.
    
    Bruit d’un pantalon qui tombe.
    
    J’attendais, toujours bouche ouverte. Un filet de bave m’échappa.
    
    — Laisse-le couler jusqu’au sol, ordonna-t-il
    
    Me voilà bien, tel un escargot… C’est du propre ! Enfin, si c’est ce qu’il veut…
    
    La salive me ...