1. Suite de ma rencontre avec Rachel, souvenirs d'adolescence


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, alliance, profélève, hépilé, piscine, école, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... bouche, de ses dents, mon intimité que je sentais moite de désir retenu. La première caresse que je sentis comme la morsure de l’extrémité d’un fouet fut ce que je devinai être la pointe de sa langue sur mon anus.
    
    C’était la première fois que quelqu’un se permettait cette privauté et, malgré mon désir, j’eus un mouvement de recul. Il m’était arrivé au gré de mes caresses solitaires et nocturnes d’aventurer mes doigts vers cette contrée mystérieusement honteuse au regard de l’interprétation que j’avais faite de mon éducation, mais je n’avais jamais osé aller plus loin. Je soupçonnais que ce petit orifice pût être la source de bien des plaisirs, mais il me faudra attendre quelques années, et la rencontre avec Patrick, pour laisser, voire désirer, qu’un homme puisse l’ajouter au nombre des claviers sur lequel il pouvait faire ses gammes.
    
    Pierre avait dû sentir ma réaction et, avant qu’un sentiment de rejet puisse prendre le pas, il avait appliqué toute la largeur de sa langue sur mon entrecuisse. Je dus projeter inconsciemment mes reins vers l’avant sous l’effet du plaisir. Je sentis la pointe de ses dents écraser mon clitoris et sa langue s’enfoncer entre mes lèvres humides. Une onde de plaisir dénoua mes reins. Tandis qu’il extrayait délicatement de son capuchon le bouton qui se nichait à la fourche de mes petites lèvres, comme je l’avais pour son gland, je sentis comme un flot tiède envahir mon vagin. Pierre continuait à jouer avec mon clitoris qui me paraissait ...
    ... avoir pris une taille démesurée. J’haletais, à la recherche d’une goulée d’air lorsqu’il se releva et libérant mes cuisses, il reposa mes mollets sur ses épaules avant de s’enfoncer lentement en moi. La sensation d’envahissement, associée à celle de liberté ressentie par la profonde inspiration qui remplit alors mes poumons, décupla mon plaisir. Je sentais le poids de son ventre contre le mien, prolongé par cette colonne de chair qui remplissait mon ventre. Il commença un lent et puissant mouvement de reins provoquant à chaque pénétration un bruit de cloaque spongieux qui en toute autre situation m’aurait paru honteux ou tout du moins gênant.
    
    Concentrée sur le plaisir que je sentais monter en moi comme une bouffée incontrôlable de fièvre, j’avais l’impression de délirer. Pierre s’était saisi de mes seins et avec une délicate pression faisait rouler les mamelons entre ses doigts. Je ne souviens plus si j’ai crié, mais au moment où, submergée par le plaisir je laissai exploser mon orgasme, il posa sa main sur ma bouche et se retira malgré moi de mon ventre. Les yeux fixés sur mon sexe béant, il agita violemment son sexe d’une main et éjacula en de longs spasmes de sperme nacré qui s’écrasèrent sur mon clitoris, mon ventre et mes seins.
    
    Sous l’effet de la violence de l’orgasme qui m’inonda par vagues successives, je me mis à pleurer. Les longs sanglots se mêlaient au rire irrépressible qui m’agitait. À travers mes larmes, je vis le regard exténué et inquiet de Pierre. Je le ...