1. Suite de ma rencontre avec Rachel, souvenirs d'adolescence


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, jeunes, alliance, profélève, hépilé, piscine, école, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... fermai les paupières, m’abandonnant à ses caresses.
    
    Ses pouces vinrent effleurer mes paupières closes, puis après avoir suivi l’arête de mon nez, s’attardèrent sur ma bouche en en dessinant le contour avec une douceur consommée. Tout devenait possible et il dut le sentir quand une de ses mains se détacha des courbes de mon visage et vint se poser sur la mienne qui caressait lentement le mamelon qu’elle avait dressé. Avec la même douceur, il la fit descendre vers son ventre. Je devinai la destination finale de mon guide et n’eus aucune réaction de surprise lorsqu’il la referma sur son sexe palpitant. Sous la douceur de la peau lisse, douillette comme celle d’un nouveau-né, je sentis le tressaillement saccadé des pulsions du désir qui l’animaient lentement. Je refermai avec un peu plus de fermeté ma main sur ma prise et entamai une lente caresse mesurée. Le sexe vivait dans ma paume. Je le sentis vibrer, lentement grossir et se délover comme un orvet s’étirant pour tenter d’échapper à la prise qui le retient. Domptée, rassurée, j’ouvris les yeux. Dans la lumière crue du néon qu’amplifiait le carrelage blanc, je posai mon regard sur ce sexe offert à ma curiosité.
    
    Il avait maintenant presque triplé de volume. Je serais incapable, même aujourd’hui, de dire aux curieux amateurs de ce genre de compétition s’il était plus gros, plus trapu, plus épais, plus je ne sais quoi qu’un autre. Quand les hommes auront compris que, sauf accident de la nature, la taille du sexe est la ...
    ... dernière chose qui met les femmes en émoi, ils auront fait d’énormes progrès dans la connaissance de leurs partenaires féminines. Gros ou pas, il était là, entre mes mains, tiède, souple, tendu, gorgé de plaisir et de désir.
    
    À chaque fois que ma main tirait vers le bas la tendre peau qui l’enrobait, le gland apparaissait dans sa splendeur triomphante. Rose foncé, presque rouge, j’en caressais du pouce la peau diaphane. Affranchie maintenant de tout frein, je laissais libre cours à ma curiosité. Pierre, les yeux clos, comme pour apprécier davantage ma caresse, avait posé ses mains sur mes épaules et jouait avec mes cheveux dénoués. Je m’appliquais, laissant mon regard satisfaire toute sa curiosité. J’étais fascinée par la douceur de cette excroissance de chair tiède, objet de tant de convoitise et de fantasmes chez les femmes qui en sont naturellement dépourvue. Elle vivait, respirait au gré de mon désir. Une légère pression sur mes épaules fut le signe qu’une autre caresse devait remplacer celle de mes mains.
    
    Je m’agenouillai et approchai pieusement mes lèvres du sexe que j’abaissai d’une légère pression. Ma langue prit le relais de mes doigts. Je n’étais pas vraiment très, très expérimentée en matière de fellation, mais ma bouche devinait naturellement les caresses immémoriales que seule l’intimité partagée rend agréable. J’avalai le gland comme on gobe une boule de glace l’été et laissai mes mains parcourir les parties accessibles du corps de mon amant inattendu. Les ...
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