1. De la lingerie pour la vie !


    Datte: 03/04/2020, Catégories: fh, inconnu, magasin, essayage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Goutte d'ambre, Source: Revebebe

    ... fauteuil. En m’apercevant, il murmura d’une voix qui me fit frissonner :
    
    — Quelle vision délicieuse…
    
    Il ne bougea pas, mais son regard brûlant m’enveloppa des pieds à la tête.
    
    — Vous abusez de la situation, monsieur. Et je ne pense pas qu’Alicia apprécierait cette attitude. Est-ce vous qui avez déplacé ce miroir ?
    
    Je tâchai de m’exprimer sur un ton aussi égal que possible. Mais Benjamin se leva et vint vers moi, ce qui m’affola. Ses lèvres me semblaient à un soupir des miennes et ses mains étaient si proches que j’eus l’illusion fugitive d’une caresse.
    
    — Oui, répondit-il avec franchise. En fait, nous sommes associés : ma cousine ne fait que gérer la boutique. Je n’ai pu résister au plaisir de voir une de mes créations portée par ma cliente préférée. Celle qui choisit mes modèles les plus… sensuels. Vous pourriez mettre cela sur le compte de la curiosité professionnelle : le désir d’admirer mes œuvres sur la femme de chair et de sang qui les apprécie, plutôt que sur un mannequin de bois. Ou cela pourrait être…
    
    Il s’interrompit et sourit. Mais ses yeux en disaient long.
    
    — Cela pourrait être ? répétai-je dans un souffle.
    
    Benjamin ne répondit pas et alla s’asseoir sur le canapé.
    
    — Venez ici, Mademoiselle Adams, fit-il alors avec douceur.
    
    Je tremblais, incapable de penser, encore moins de protester. Pourtant, j’aurais dû le remettre à sa place ! exiger qu’il quitte la pièce sur-le-champ ! Mais ma volonté m’avait abandonnée et, comme sous l’effet ...
    ... d’un charme, j’obéis à l’audacieux jeune homme, le cœur battant. Le sourire insolent de Benjamin s’accentua quand je m’arrêtai devant lui.
    
    — Quelle expérience avez-vous de la tentation, mademoiselle Adams ? Vous y êtes-vous jamais abandonnée ?
    
    Le souffle court, je ne répondis pas. Sa main venait de se poser sur ma cuisse nue, elle remonta lentement jusqu’à ma chatte.
    
    — Enlevez la guêpière, ordonna-t-il soudain en retirant sa main.
    
    Pourquoi lui ai-je obéi, et si vite, je ne le saurai jamais. Mais à peine avait-il parlé que je dégrafai le corset et le porte-jarretelles. Le sous-vêtement de dentelle tomba à terre dans un bruissement soyeux. J’étais nue.
    
    — Vous êtes une effrontée, mademoiselle Adams, chuchota Benjamin. Il avança sa main jusqu’entre mes cuisses.
    
    Je sentais la douce caresse qui me faisait mourir d’attente. Je fermai les yeux. La main tentatrice se posa sur ma chatte. Benjamin me regardait d’un air narquois. Il caressa lentement ma chatte.
    
    — Mmhhm… gémissais-je en penchant ma tête en arrière de félicité.
    — Répétez après moi : je suis une effrontée… fit-il en enfonçant un doigt dans ma chatte.
    
    Dans un soupir, je murmurai :
    
    — Oui… Oui… Je suis une effrontée… mmhm…
    
    Benjamin me prit par la taille et me fit asseoir sur ses genoux. Il écarta mes cuisses et saisit dans sa bouche une pointe rosée de ma poitrine, durcie de désir. Sa main revint torturer savamment ma chatte. Je me sentais sur le point de jouir. Benjamin enfonça deux doigts ...