Thylis et la jalousie
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
dispute,
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... injectons dans l’anus et qui sublime les matières fécales. Qui les transforme en gaz, si tu préfères.
— Mais c’est ignoble ! Et après, on pète toute la journée ? Et ça doit puer, en plus !
Elle me regarda, atterrée.
— Non, le résidu gazeux est presque inodore ; en tout cas, c’est bien moins inconvenant qu’une flatulence ordinaire.
J’étais stupéfait. Fallait absolument que j’essaye ça ! Mais Xara, d’un air dégoûté, ajouta :
— Et c’est bien moins ignoble que de répandre ses matières fécales et de s’éponger ensuite l’anus…
— Ouais, en même temps, c’est pas franchement naturel, ton dissolvant, là. Ça m’étonne pas que vous soyez malades si vous utilisez des tas de conneries chimiques comme ça !
— Malades ? Que veux-tu dire ?
— Eh bien votre peuple qui ne donne naissance qu’à des filles… C’est peut-être lié à ce que vous bouffez, ou ce que vous vous foutez dans le cul, justement…
Elle fronça les sourcils, mais répondit finalement :
— Non, ce n’est pas si simple. Même nos animaux d’élevage n’engendrent que des femelles. Et nous ne leur injectons pas de solution.
— Mouais… bon… et… et pour faire pipi ? Vous faites ça en apesanteur pour pas salir ?
Elle sourit quand même, avant de me répondre :
— Non, nous utilisons effectivement des latrines.
— Aaaah ! Á la bonne heure ! Bon, et y en a dans le coin, là ?
— Oui, presque dans chaque pièce ; elles sont rangées dans les murs, généralement. Tiens, il y en a ici dans la salle de toilette.
Nous ...
... retournâmes dans la salle de bains et elle tira sur une petite poignée qui dépassait d’une cloison, faisant apparaître une sorte de cuvette de chiottes stylisée et ergonomique.
— Oui, commentai-je, c’est un peu sur le principe de nos vide-ordures. Bon, tiens, pendant que je pisse, essaie voir de me trouver de ta liqueur à caca, là, j’ai bien envie d’essayer ce truc-là.
Elle m’abandonna les « latrines » et fit mine de chercher quelque chose derrière moi. Mais je la devinais m’observer attentivement manipuler mon pénis pendant que j’urinais.
— Dis donc, curieuse ! fis-je en tournant la tête.
Surprise, elle rougit presque en me tendant innocemment une sorte de petite poire à lavement et en m’expliquant :
— Tiens, elle est pleine. Ensuite, il te suffira de la remplir à ce robinet-là.
Ah, parce qu’en plus, ils avaient la liqueur à caca courante ? C’était bien équipé, leurs baraques…
— Merci.
Je rangeai mes attributs dans mon caleçon et me saisis de sa poire. Et sous ses yeux amusés, je tentai, le plus discrètement possible, de m’injecter le produit dans le cul. J’eus de la peine à le faire sans éclater de rire. C’était une sorte de gel gluant et collant. J’étais pas encore complètement convaincu que c’était moins ignoble que de chier un bon coup.
— Euh… et… pour se laver les mains ?
— Ici, c’est de l’eau savonneuse, répondit-elle en me désignant un autre robinet. Et ici, de l’eau pure.
Je nettoyai vaguement la poire puis me frottai les mains sous une eau ...