Thylis et la jalousie - Histoires de Sexe

Thylis et la jalousie

... m’embrassa et me susurra :

— Merci. Tu t’es drôlement bien rattrapé…

Oui, cette fois-ci, c’était mieux. La demoiselle avait rapidement joui sous les assauts cumulés des doigts de Xara et de ma queue ; ensuite, je m’étais un peu occupé de ma merveilleuse rouquine, qui avait à son tour explosé de bonheur sous nos caresses conjuguées ; et Thylis avait repris son pied encore une fois en même temps que moi qui m’étais déchargé au fond de son corps – je ne devais pas perdre de vue ma mission…

— Alors ? J’attends vos explications…

Ce fut Xara qui rompit le silence, après avoir soupiré une nouvelle fois lourdement :

— Thylis était autrefois ma petite amie…

J’écarquillai les yeux de surprise. Mais évidemment, j’aurais dû m’en douter. De toute façon, ces nanas qui n’avaient pas de mec, c’était pas étonnant qu’elles jouent ensemble…

— … mais nous nous sommes disputées pour des broutilles, des compétitions permanentes.
— Nous avons le même caractère, expliqua la jolie brune en allant soigneusement embrasser la jeune femme aux grands yeux verts.

Excellent ! C’est clair que j’étais tombé à point, dans la cantine, quand j’avais ...

... balancé que c’était avec ces deux-là que je voulais habiter. Tu m’étonnes que ça avait mis l’ambiance…

— Je suis heureuse de t’avoir retrouvée, chuchota Xara.

Et l’autre la prit dans ses bras. Moi, grandement, je bâillai.

— Bon, je suis sincèrement ravi que vous vous soyez effectivement retrouvées ; je le serai encore plus si vous acceptez de vivre à mes côtés ; mais là, je vais vraiment redormir un peu, si vous le voulez bien.

Je ne savais même pas si elles m’avaient entendu ; elles étaient de nouveau en train de se rouler des pelles. En soupirant, je nageai jusqu’à la porte d’entrée, puis sortis une nouvelle fois pour gagner la « salle de toilette », comme l’appelait Xara. Je me décrassai rapidement, pissai un bol, et retournai dans la chambre pour finir ma nuit. Quand j’y revins, les deux merveilles étaient en train de se masturber mutuellement. À croire que ce que je leur avais fait ne leur suffisait pas ! Je m’étendis virtuellement dans un coin de la pièce, en prenant garde à un espèce de filet de sperme qui flottillait plus ou moins en boule pas loin des deux jeunes femmes. Et je ne tardai pas à me rendormir.

À suivre…