1. A nous les petites indiennes


    Datte: 30/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... rentrant la jeune sœur est venue à moi et m’a serré par la taille. Elle m’a dit, moi je monte un hongre pangaré.
    
    Ma sœur et moi sommes fusionelles et nous dormons ensemble dans le même lit mais elle, monte un mustang appaloosa tacheté.
    
    Nous serons donc, tous trois avec toi une jument, ma sœur un vrai mâle et moi un hongre.
    
    Ma sœur et moi dormons nues dans le même lit ; nous sommes fusionelles. Et ce disant elle a pris ma bouche pour un palot infernal profond et mouillé lors que toute la famille nous matait là devant la cheminée.
    
    On est passés à table bouffer une bouillie de maïs dans des bols de terre cuite, avec pour tout couvert une cuiller en bois. Le bison avait été bouilli et chacun attrapait à pleine main dans le chaudron d’eau tiède des morceaux filandreux qu’il déchiquetait de canines hardies et dévorait.
    
    On m’avait souhaité en famille le welcome, on m’avait montré les armes de la maison, les filles m’avaient ouvert, l’une et l’autre, leur cœur, on m’avait fait partager le repas vespéral, maïs con carne, mais j’étais en attente de savoir quel serait le lieu de ma couche.
    
    J’espérais qu’on m’aurait affecté une chambre perso où pouvoir trouver sérénité et calme après ces dures épreuves exotiques en rencontre de civilisations lointaines.
    
    Mais mon espoir a été déçu. Bien déçu.
    
    Ils avaient posé mon grand sac dans la piaule des filles.
    
    Pourtant la cabane était grande et je ne comprenais pas qu’il n’y eût une pièce à part pour le stagiaire, pour ...
    ... moi.
    
    Heureusement, j’avais un pieu perso. Un grand lit. Avec deux oreillers, un présage, non ?
    
    Les deux indiennes devaient dormir dans un grand lit identique à l’autre bout de la piaule. Et moi, je pensais, vu le bon accueil, ça risque de bien se terminer cette histoire-là...
    
    Surtout que sur le dessus des lits il y avait en guise de couverture de couvre-pieds, une large peau de bête, élan ou wapiti.
    
    La salle de bain était tout à fait moderne avec baignoire et douche genre italienne. Carrelages mozaïques, lavabo de faïence colorée et robinets Grohe avec mélangeur et tutti quanti, y compris le radiateur sèche-serviettes Acova. Jamais on aurait cru que ces gens-là étaient de l’Oklahoma ou de par là-bas.
    
    Les squaws ont filé en culotte torse nu en sautillant à la dite salle de bain tandis que je déballais mes chemisettes et mes pantacourts pour les poser sur les étagères à moi dévolues.
    
    Je les entendais rire et je pensais, elles se réjouissent de l’opportunité du Français à consommer ce soir...
    
    Je pensais, c’est le monde à l’envers, je croyais venir ici pour croquer de l’indigène et me voilà Futtern de faune locale.
    
    J’ai pris la suite à la douche, moi aussi en slip. Non mais, un Françouze c’est pas plus compliqué qu’Américaines, même Comanches.
    
    Dans la chambre les lumières étaient éteintes quand je suis rentré, serviette en pagne, encore un peu humide.
    
    Mon lit, j’avais dû faire erreur, était occupé. Je suis allé à l’autre lit. Malheur, il l’était ...
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