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A nous les petites indiennes
Datte: 30/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds
... ils seront à bonne place. Moi j’étais interloqué. Ils ont tous deux ajouté, nos filles sont pour toi. Elles n’attendent que toi. Ici les filles s’ouvrent aux étrangers pour échapper aux malheurs de consanguinité des unions de tribu. Mais rassure-toi, Français, on ne te fera pas prisonnier de mariage. Tu seras libre de partir de repartir vers ton pays lointain. Nos filles engrossées on se les garde avec leur progéniture et on les marie aux jeunes gars de chez nous. Et on remercie le Grand Sachem de nous donner par sa loi des papooses bien sains. Je sentais que l’aventura chez les Peaux Rouges locaux se présentait bien. On est retourné au salon, enfin à la pièce centrale de la cabane. Les deux grandes squaws étaient assises en tailleur, en lotus sur une sorte de tapis, leurs jupes à frange en corole et leurs yeux noirs en tendresse dans les lueurs rouges du feu de la cheminée ouverte. La mama avait préparé une décoction qui bouillassait pendue à la crémaillère dans l’âtre. L’ainée des deux filles m’a pris par la main et m’a entraîné à l’extérieur. Aussitôt passée la porte et la moustiquaire battante, elle m’a attiré contre elle. Sa poitrine lourde faisait barrage entre nous. Mais on était en concordance d’émotion. Elle a dit, en américain dans le texte, je vais te présenter le cheval que l’on a choisi pour toi. Viens. On est arrivé au grand hangar où vivaient les chevaux. Non pas en box individuels comme chez nous mais tous ensemble comme en ...
... communauté comme en famille. Mangeoire commune au fourrage appétissant et bêtes à se frotter à se toucher mutuellement. Le mustang qui m’était affecté avait robe auburn. Elle, car c’était une jument, est venue me humer pour me comprendre. J’ai touché la main de ma compagne pour la serrer et lui dire ma vérité et ma communion avec la belle jument qui tendait sa tête contre ma poitrine. Mon autre main fut pour elle, pour son encolure et son pelage dur et chaud et vibrant. Le foin sombre formait litière et la grande squaw m’y a mené tout naturellement pour nous basculer. Son épaisse tignasse noire se mélait aux fétus blonds mais son rire roucoulant restait néanmoins discret, pudique. J’ai roulé sur elle dans l’odeur de la paille et la jument debout auprès de nous nous matait de son regard latéral avec un air complice, une sorte d’acquiescement. La fille m’a chopé de deux bras sous mes épaules à serrer mon buste et de ses deux jambes talons crochés à mes cuisses comme pour me faire son prisonnier. Elle fermait les yeux mais je voyais bien sur ses traits son contentement. J’ai juste posé mes lèvres sur les siennes, comme pour lui dire mon accord à poursuivre plus avant cette rencontre. Elle m’a rendu mon baiser d’une longue cambrure du pubis cherchant ma virilité. Levé, je lui ai tendu la main pour l’aider à s’arracher au foin. Le cheval est venu à moi et m’a honoré d’une poussée puissante de sa tête râpeuse comme pour m’adouber et me dire bienvenue au club. En ...