1. Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    ... intégré sa copine Chrystel, un canon de 26 ans avec des jambes de 2 kilomètres : c’est un peu la faute de Marina, car sachant que Chrys m’excite, elle en rajoute sans cesse. "Chrystel ne met jamais de culotte", "Chrystel me fait des allusions sur un plan à trois avec toi", etc, et à chaque fois elle se moque de moi parce que je marche à fond).
    
    Mais non, c’est l’hypothèse noire qui s’est confirmée. Et comme je connais ma femme, je sais qu’il est inutile de discuter : elle est du genre à tenir une position juste pour ne pas se déjuger. Au mieux, il fallait que j’attende une autre occasion, ou une perche tendue. Je lui donnai raison pour sauver les apparences.
    
    Puis j’attendis.
    
    Si je prétendais que cette histoire n’a rien changé entre nous, je mentirais. Nos rapports sexuels étaient toujours quelque peu pollués par cette histoire latente de scatologie, et nous ne nous fouillions plus le cul avec le même entrain. Les séances de sexe se sont alors espacées et après quelques mois, étaient devenues rares. Les soirées et sorties échangistes ont continué quelques temps, mais cette source de plaisir s’est tarie elle aussi.
    
    Même si je connaissais le mécanisme à l’oeuvre, une chose me chiffonnait : je connaissais Marina, et si pour ma part je pouvais pallier l’absence de sexe avec elle par une pratique masturbatoire qui confinait parfois à l’addiction, j’avais le plus grand mal à imaginer que ma femme puisse se contenter de se tourner le bouton pour assouvir sa faim de ...
    ... pénétration : cette femme avait besoin de se sentir ramonée par une bite efficace, selon ses propres termes.
    
    L’hypothèse qui commençait à grandir en moi était confortée par mon expérience passée : par deux fois j’avais vécu avec des femmes qui avaient fini par se lasser de la chose, et par deux fois, j’avais fini par comprendre que "je n’ai pas envie" signifiait en réalité "je n’ai pas envie avec toi". Et tandis que je me languissais d’un rapport en trompant mon ennui avec de la pornographie, elles me trompaient moi avec de vraies bites en chair, mais pas en os, puisque comme on le sait ce n’est pas un os.
    
    Je n’avais toutefois guère de moyens de prouver cette forfaiture, car nos précédentes péripéties l’avaient rendues méfiante. Localiser son iPhone ou piéger son ordinateur, mission impossible. Pour essayer de faire fortune bon coeur, je me mis à faire des rêves candaulistes éveillés. J’imaginais les sorties de Marina, ce qu’elle pouvait faire avec un amant, voire deux. Je l’imaginais dans des scénarios bizarres, sales.
    
    Et puis, l’idée de ma femme en plein délire scato ne m’avait pas quitté, et malgré ses dénégations, je me plaisais à l’imaginer excitée par une telle dépravation. Parmi les "outils" dont j’avais doté mon imaginaire, il en était un bien réel, à défaut d’être tangible : je l’écoutais, chaque matin, chier. Elle était d’une régularité de coucou suisse : 20 minutes après s’être réveillée, son cul demandait à pondre. Je me masturbai en imaginant son anus se ...
«12...456...18»