1. Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    ... qu’un peu de merde est sortie du cul d’une compagne ou amie de circonstance, à l’occasion d’une sodomie, l’odeur a plutôt été un facteur incommodant. Mais l’idée m’excitait - surtout, l’idée que ça puisse plaire à ma partenaire de me chier un peu dessus.
    
    J’ai eu quelques premières expériences light, et avec Marina, nos doigtages de cul mutuels pouvaient bien entendu se solder par un peu de salissure. Entre ces prémisses et mon habitude grandissante de me masturber devant des films scato, j’ai commencé à fantasmer de plus en plus sur cette pratique.
    
    Je ne me masturbais pratiquement plus que sur mes vidéos préférées, tout en cherchant constamment de nouvelles images sur internet, surtout amateur. Rapidement, je ne fus plus excité par les vidéos trop pro, ou souvent on pouvait deviner que la merde était factice et plus ou moins bien imitée. Le top, c’était les vidéos approximativement filmées, où un couple, ou plusieurs, se laissaient aller les uns sur les autres, extrayant de leurs viscères des étrons qui semblaient bien réels, bien moulés et grumeleux, puis jouaient avec ce caca de multiples manières. Mes héroines se nommaient Mégane, Nelly Preston, Bea Schnuckel et quelques autres, avec une mention spéciale pour cette dernière, petite baby doll germanique capable des pires dégueulasseries malgré sa gueule d’ange.
    
    Je rêvais évidemment d’amener ma propre petite salope à ces extrémités fécales. En 69, je fouillais de plus en plus activement son trou du cul, lui ...
    ... demandant de pousser, me délectant de ses pets, et l’encourageant lorsque je sentais une crotte coulisser le long de mon doigts. De mon côté, je poussai aussi lorsqu’elle me doigtait l’anus, et bien souvent, après avoir joui tous les deux, je la voyais se précipiter dans la salle de bains pour se laver les mains.
    
    Pourtant, elle s’en tenait là. Je n’osai aborder frontalement la question d’une vraie séance de défécation mutuelle. Quelque part, j’avais aussi une forme d’hésitation : Marina était une sorte d’icône pour moi, peut-être avait-elle peur, et moi aussi, qu’elle ne casse son image en exhibant l’anneau de son cul se boursouflant pour finir par éjecter une masse odorante de merde ? Et en même temps, c’est justement l’idée qu’un tel canon se livre à une chose aussi ignoble qui m’excitait.
    
    Et puis, quand je regardais mes films scato, j’avais fini par concevoir dans l’acte de chier sur quelqu’un une forme de beauté sublime, d’intimité "ultime", d’offrande inconcevable et donc délicieuse. Je voulais donc posséder cette ultime intimité de Marina, en observant son cul pendant qu’elle défèque, puis en chiant aussi sur elle.
    
    En novembre de cette année-là, nous avions une série de défilés à gérer en Europe et c’était une "période sans". D’une part, nous étions souvent loin l’un de l’autre, et d’autre part, nous étions constamment épuisés. Je me livrai donc à mon habituelle et frénétique saison de la branlette, en éjaculant jour après jour dans la contemplation de Nelly Preston en ...
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