1. Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    ... dilater, hésiter, faire quelques mouvements de va-et-vient puis faire place à une luisante merde que j’imaginai recueillir dans mes mains. Ce rituel, même s’il ne me laissait pas le temps d’éjaculer car elle était rapidement de retour pour filer dans la douche attenante à la chambre, était immuable, sauf lorsque l’un de nous deux était en déplacement.
    
    La machine se grippa un mardi. Marina s’était levée, était allée se préparer son café, j’avais déjà sorti ma bite pour me branler au son de l’étron, mais rien. Constipée sans doute - ce sera partie remise pour demain. De fait, l’étron Marinien fut au rendez-vous le mercredi, puis le jeudi, etc. Cette exception se reproduisit de temps en temps, j’en prenais mon parti.
    
    Puis, un jour, l’évidence me frappa. Le trou dans l’emploi du temps merdeux était toujours un mardi. Tous les mardis, le seul bruit que j’entendais en provenance du WC marital était le léger bruissement de la Sainte Urine - ni plouf, ni éjection sonore de merde molle. Il n’y avait guère de possibilités pour expliquer une telle coïncidence, et la déduction qui s’imposait me frappa en plein coeur : chaque mardi, Marina faisait l’étron buissonnier. Celle qui se refusait à mes propositions de jeux excrémentiels, et désormais à mes jeux tout court, non seulement se faisait probablement défoncer les entrailles par des queues inconnues, mais faisait l’offrande d’au moins un caca hebdomadaire à un, voire plusieurs heureux élus, qui peut-être avaient eux-mêmes le ...
    ... privilège d’emmerder l’amour de ma vie.
    
    Cette découverte, dans un premier temps, enrichit mes rêves éveillés. J’avais un peu de matière concrète pour l’imaginer jouer avec ses matières fécales. A cette époque, je jouissais très vite - la seule évocation de Marina chiant devant un inconnu ou le regardant chier me faisait gicler en quelques minutes. Mais dans un coin de ma tête, l’obsession grandit : il fallait que je la voie faire - au sens propre. Ou sale, enfin, je ne sais plus !
    
    L’avantage d’avoir un peu d’argent est de pouvoir se payer du personnel. J’eus recours à la bonne vieille ficelle du détective privé pour découvrir où elle allait, qui elle voyait, et comment la surprendre. Bon détective, il découvrit que le mardi était alternativement consacré à un jeune allemand qui travaillait dans la mode comme nous, ou à une femme prénommée Béatrice, de mon âge. Ce point me surpris un peu car dans le libertinage, Marina ne prêtait guère attention aux filles - à leur grand désespoir d’ailleurs. Elle voulait des bites (et des belles, elle avait horreur des vilaines bites). Il faut croire que pour les jeux scato, Marina aimait la diversité des genres. Il ne pouvait pas décrire les activités pratiquées, car je lui avais demandé de s’en tenir à qui, et où. En fait, je voulais aussi éviter qu’il voie ma femme en train de déféquer sur un mec, ou de manger de la merde. Cocu, passe encore, mais je ne me sentais pas prêt à soutenir le regard du détective me tendant les photos de ma ...
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