1. Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    ... vu le post-it, forcément, mais n’a rien dit le jour même. Il y avait une atmosphère un peu bizarre. Le lendemain matin, je posai ma main sur sa chatte, lorsqu’elle fut réveillée. Elle choisit ce moment pour crever l’abcès.
    
    — Ok, bon... finissons-en. J’ai vu le post-it que tu as du trouver dans mon tiroir. Pourquoi tu l’as mis là ?
    
    — Pour que tu me parles de ce code...
    
    Je voulais voir ce qu’elle avouerait, donc je restais évasif. Elle tenta une diversion.
    
    — Je l’ai trouvé écrit quelque part dans tes affaires. C’était à l’époque de Catherine. J’étais méfiante, j’ai dû le noter là en me disant que ça pouvait servir.
    
    Elle mettait un peu de vérité dans son mensonge, c’était mignon.
    
    — C’est un mot de passe, mais je l’ai créé il y a bien moins longtemps que ça, et jamais écrit nulle part...
    
    — Bah écoute, je n’ai pas pu l’inventer. Si tu ne l’as pas écrit, j’ai du te voir le taper, ou quelque chose comme ça.
    
    Je décidai d’en finir.
    
    — Marina chérie, je connais le fin mot de l’histoire. Mais ça serait plus élégant que tu me dises la vérité...
    
    Elle pouvait penser que je bluffais. Ou pas. Elle réfléchit un moment, puis quelque chose la décida.
    
    — Après tout, je t’aime. La vérité, c’est mieux, tu as raison. J’ai récupéré ce code parce que j’ai espionné ton ordi à l’époque de Catherine. Avec une petite bidouille. Et je n’ai rien trouvé d’autre, rien de compromettant, et j’en ai déduit que je t’avais soupçonné pour rien. Voilà.
    
    — Après avoir trouvé le ...
    ... post-it en cherchant un certificat de douane, j’ai fouillé mon ordi et ai trouvé ton keylogger, en effet. Mais la vérité, c’est mieux quand c’est complet, mon ange.
    
    Silence. Marina étant une maligne, elle a enchaîné les déductions : si j’avais trouvé le keylogger, j’avais aussi pu retracer toute l’histoire. Elle abandonna l’affaire.
    
    — Ok. J’ai trouvé ce que tu planquais sur l’ordi.
    
    — Et tu en profites depuis des semaines, et pas qu’un peu.
    
    — Tu serais mal placé de m’en faire le reproche.
    
    — Je peux te reprocher d’avoir bidouillé ma machine, de m’avoir espionné, et toi, tu peux me reprocher de t’avoir caché cet aspect de ma vie fantasmatique. Mais c’est tout. Moi ce qui m’intéresse maintenant, c’est ce qu’on va faire de cette passion partagée.
    
    Elle eut un sourire en coin que j’eus du mal à interpréter. Puis elle reprit la parole.
    
    — J’avoue que je me suis bien excitée là-dessus, mais c’est mon côté voyeuse qui l’a emporté. L’idée que des gens puisse se dégrader comme ça, oui, ça m’excite. Mais moi, je n’ai aucune envie de me dégrader, et encore moins de te voir le faire. Ca casserait tout.
    
    C’était un peu le scénario catastrophe que je craignais. Bien sûr, j’avais rêvé que ça se termine par une déclaration d’amour scatologique du type : "oh mon chéri cela fait des semaines que je nous imagine déféquer l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, et même pourquoi pas inviter ma meilleur amie chrystel pour lui chier dessus aussi" (oui, dans mes rêves éveillés, j’avais ...
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