1. L'harmonique des corps


    Datte: 28/03/2020, Catégories: fh, jeunes, amour, Oral 69, fgode, journal, nostalgie, Auteur: Lok.Z, Source: Revebebe

    ... mot, je saisis son pantalon par la ceinture au niveau de ses hanches. Elle soulève son bassin et je le fais glisser jusqu’aux genoux, puis jusqu’à ses chevilles. Pas de culotte !
    
    Ce n’est pas ses doigts qui glissent dans sa chatte mais un feutre ou un stylo. Je me recule fasciné par ce spectacle. C’est la première fois que je vois ça en vrai. De son autre main, elle écarte ses lèvres pour bien me montrer le feutre disparaître au fond de son vagin. Elle est diabolique ! Je la sens mesurer l’emprise qu’elle exerce.
    
    Mon cœur balance, si j’ose dire, entre la regarder faire ou me jeter entre ses cuisses pour lui coller ma langue, ma bouche, pour lui dévorer le sexe. Je suis sous pression. Je bande comme un fou mais je n’ai pas le temps de décider quoi que ce soit. Elle pose le feutre sur la table basse à côté d’elle et saisit la bouteille de vin blanc d’Alsace vide, débarrassée de ses étiquettes et qui nous sert pour l’eau.
    
    Elle lèche le goulot, le suce, fait un ou deux va-et-vient, puis le présente à l’entrée de son vagin. Les doigts de sa main gauche pour écarter ses lèvres, et elle s’enfonce la bouteille doucement, tout doucement, profondément, pour que je voie l’entrée de son sexe s’élargir au fur et à mesure de la progression.
    
    Je me rapproche à nouveau. Je suis comme un enfant devant un cadeau qu’il n’attendait plus.
    
    J’ai envie de toucher. Mes doigts tremblants effleurent ses cuisses, s’approchent de la zone convoitée. Je n’ose toucher de peur de ...
    ... rompre.
    
    Dans son regard, la petite fille n’est plus là. Son sourire s’est mué. Elle ne me paraît plus diabolique mais damnée, prise à son propre piège. Lorsque la bouteille semble être arrivée en butée, elle force un peu en tournant et sa bouche s’ouvre toute seule pendant que sa tête se renverse. Mais elle ne me quitte pas des yeux. Elle me donne bien plus qu’une simple exhibition. Une ouverture de son intimité la plus crue dans laquelle je me perds avec délice, aspiré, et qui génère en moi une émotion qui me grise, me décolle.
    
    Pourtant je suis captif, à genoux. Il n’y a plus rien autour de son regard étrange.
    
    Et quand je m’approche de sa bouche pour l’embrasser, je suis happé, léché, pénétré. Son souffle est brûlant. Je saisis la bouteille qu’elle lâche aussitôt, la ressort presque complètement et la renfonce lentement. Elle essaye d’attraper ma bouche mais je me dérobe.
    
    J’enfonce encore. Elle se tend dans un souffle sonore. Jusqu’où puis-je l’enfoncer ? J’ai peur de lui faire mal.
    
    Soudain, la porte d’entrée de l’immeuble claque. Les escaliers grincent. Tout de suite je pense à mon frère. Passé le deuxième étage, nous n’aurons plus qu’une grosse dizaine de seconde pour retrouver une position décente. J’enrage ! C’est son pas, je le reconnais. C’est un supplice de revenir à cette réalité où mon frère n’est pratiquement jamais là, sauf ce soir.
    
    Sophie se lève et remonte tranquillement son pantalon. Moi je jure un « putain ! Fait chier ! ».
    
    Quelques secondes après, il ...
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