L'harmonique des corps
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
69,
fgode,
journal,
nostalgie,
Auteur: Lok.Z, Source: Revebebe
... une bonne séance tripotage en salle obscure, c’est de bien choisir son film. Si le début dePluie noire ne prêtait pas à conséquence, le flash de l’explosion atomique, par sa soudaineté et sa violence, nous fixa instantanément dans nos fauteuils. Après ça, la suite du film sur les ravages de la bombe nous calma pour de bon. Enfin, le temps du film.
Je ne me suis jamais senti honteux avec elle. Pas besoin de réclamer. Pas besoin de combiner. Avoir envie d’elle était normal. Je n’avais pas l’impression d’être un obsédé ou un pervers. Je pouvais enfin m’exprimer comme elle le faisait elle-même.
Jusqu’à elle, aucune fille que je connaissais n’avouait se masturber. Elle, elle le faisait ouvertement devant moi.
Comme ce jour où nous étions au lit, chez moi. C’était un après-midi et nous venions de faire l’amour. Nous étions nus sur les draps. Moi sur le dos et elle sur moi, à califourchon sur une de mes cuisses. Nous discutions tranquillement et je sentais son bassin onduler doucement. Elle ne prenait plus beaucoup part à la discussion. Tout en m’écoutant, elle se frottait sur ma cuisse et prenait son pied, tranquillement, avec un grand sourire satisfait.
Pas de chichi avec elle, elle était cash. J’aimais vraiment tout d’elle.
Encore un après-midi, en train de baiser dans mon appart. Elle sur moi et ma queue bien au chaud dans son vagin. Pas pressée de jouir malgré qu’elle ait envie de faire pipi. Je lui propose une pause mais elle reste en place, elle me dit que ...
... c’est encore meilleur comme ça.
Elle me baise langoureusement et de mes doigts, je sens ses lèvres autour de ma bite. J’écarte ses fesses comme pour l’ouvrir en deux et lui caresse l’anus, glissant. Elle prend son pied et me le fait savoir dans un murmure, un « je jouis » qui me bouleverse. Nous sommes soudés par le sexe et par le regard. Chacun cherchant l’autre au fond de son plaisir.
Lorsque nous avons fini et alors qu’elle était toujours sur moi et moi en elle, elle me confesse m’avoir pissé dessus pendant que nous faisions l’amour. Oh, pas beaucoup, je ne l’ai même pas senti tellement son con et son cul sont trempés. Et puis il fait chaud, nous transpirons et ça me plaît. Plaît qu’elle l’ait fait et plaît qu’elle me le dise, sans honte, sans regret, juste avec ce malin plaisir qui illumine son sourire.
Plus tard, nous nous lavons dans la cuisine. Mon appart n’a pas de salle de bain et les WC sont sur le palier. Prendre une douche chez moi, c’est se laver les cheveux au-dessus de l’évier grâce à une petite pomme qui s’adapte sur le robinet du petit chauffe-eau. Pour le reste, c’est gant de toilette et flotte partout sur le sol, à l’ancienne.
Nous nous tenons entièrement nus sur une serviette et je la savonne de la tête aux pieds. Elle se laisse faire, docile et confiante, comme une enfant. Un sourire sur ses lèvres, et dans ses yeux, une grande tendresse désarmante qui me fait fondre.
Je me souviens très bien de ce moment. Je ne saurais dire pourquoi mais il me ...