1. Mauvaise langue !


    Datte: 22/03/2020, Catégories: fh, couple, Oral nopéné, Humour Auteur: Athanagor, Source: Revebebe

    ... plus. Pourtant, j’y ai cru au début. Elle m’avait dit : « Toi, tu sais te servir de ta langue… » la première fois que je suis descendu lui faire mimi – elle était toute épilée, hé hé. Waouh ! Elle m’avait guidé, les doigts enfoncés dans mes cheveux. J’avais le visage plaqué au creux de ses cuisses sans autre choix que de suivre le mouvement qu’elle m’imposait. Ça avait été rapide avant qu’elle ne glapisse et qu’elle me repousse, visiblement satisfaite.
    
    Moi, j’étais content. Je n’avais pas tout compris, mais j’étais content.
    
    J’ai un peu mieux saisi quand elle a refusé que j’y retourne quelque temps plus tard. « Mais, puisque je me débrouille bien ?! » Elle m’a avoué qu’elle avait simulé pour que j’abrège, la garce !
    
    C’est moi qui l’ai larguée.
    
    Maintenant, avec Élodie, ça se passe bien. On s’aime, c’est le principal. Mais j’ai abandonné l’idée de la faire grimper en la léchant. Je dois avouer que je n’ai pas beaucoup insisté. Je me suis fait une raison : elle non plus n’aime pas spécialement ça, voilà tout.
    
    Mais l’histoire se répète. Étrange, non ? La plupart des femmes disent adorer se taper une langue. Pourquoi aucune de celles que j’ai connues ? Peut-être simplement parce que c’est moi le mauvais lécheur, incapable de leur donner du plaisir avec ma bouche !
    
    ooo000ooo
    
    Ce soir-là, le raisonnement m’a paru limpide, la conclusion implacable : j’étais nul en cunni. Pourtant une partie de mon cerveau avait du mal à l’admettre ; la quasi-totalité, en ...
    ... fait.
    
    Je ne pouvais pas rester seul face à mes angoisses schizophrènes. J’avais besoin d’en discuter avec Élodie, pour me rassurer et mettre les choses au clair.
    
    J’ai éteint la télévision, clouant le bec au crétin, la bite floutée, qui me parlait de sa femme comme s’il s’agissait de sa voiture tunée.
    
    Dans notre chambre, les lumières étaient éteintes et les fenêtres grandes ouvertes pour profiter de la fraîcheur de la nuit. Élodie dormait déjà ; le rythme de sa respiration m’indiquait qu’elle était loin dans les méandres du sommeil. Moi, je ne pouvais pas attendre le lendemain pour savoir. Je n’aurais pas pu m’endormir. Je me suis approché d’elle, prêt à délicatement… la secouer. Je l’ai regardée un instant, suivant des yeux le contour de son corps sous les draps, puis j’ai repoussé le tissu pour la découvrir entièrement. Élodie n’a pas bougé, allongée sur le dos, une jambe tendue, l’autre repliée. La bordure en dentelle de sa nuisette était remontée au niveau des hanches. En dessous, son pubis m’est apparu dans la lueur de la rue. Je devinais sa fente en clair-obscur, ironique allégorie de ma propre faille.
    
    J’ai toujours été attiré par le sexe des femmes. J’aime l’idée que c’est une parcelle secrète de mes conquêtes. Un endroit de leur anatomie qu’elles ne dévoilent qu’à de rares personnes, dont je fais partie. Pouvoir l’observer, c’est avoir accès à la vraie nature de mes amantes. Le sentir, le goûter, c’est m’imprégner de leur essence même : ce qu’elles ont de plus ...
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