Mauvaise langue !
Datte: 22/03/2020,
Catégories:
fh,
couple,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Athanagor, Source: Revebebe
... Fanny. Une petite rouquine qui ne l’était pas vraiment. Une fille adorable. Mignonne, rebelle, chiante comme tout.
J’étais très excité lorsque je l’ai déshabillée sur le convertible miteux de ma chambre de bonne. Un peu déçu que la rousseur ne soit qu’une fantaisie capillaire. Mais fasciné par ce corps qui m’était offert… et par cette chatte dont je ne voyais pas qu’elle était craintive. Je ne vais pas mentir : j’étais tel un conquistador accostant une île vierge, exalté par les richesses et les beautés inconnues qui l’entourent, mais ignorant tout des indigènes déconfits qui se font massacrer la plupart du temps.
Emporté par ma propre excitation, j’imaginais benoîtement qu’il en était de même pour la malheureuse copine. J’ai léché, comme je pouvais, son sexe résolument fermé. Je l’ai goûté, senti, exploré… sans pour autant le découvrir.
S’il reste un souvenir émouvant pour moi, mon premier suçage de praline fut un échec, je dois le reconnaître. Mais j’ai ma conscience tranquille : à moins d’être un génie, on n’apprend pas à lécher une chatte en deux coups de langue. Réussir un cunni n’est pas aussi simple que coller un timbre !
Malheureusement, nous n’avons pas eu, son sexe et ma langue, beaucoup d’autres occasions d’apprendre à mieux nous connaître. Fanny m’a vite remplacé par un petit Espagnol dont la jota lui faisait rosir les joues. Alejandro, il s’appelait… J’étais prêt à lui casser les dents, histoire de lui faire ravaler son accent de merde ! Mais il ...
... était drôlement sympa, ce con. Alors on est devenu potes.
Et puis, avec le recul, je pense que je dois ma première rupture à un petit paquet d’indigènes rancuniers qui me reprochaient l’aveuglement de mes incursions sur leurs terres. Quelque chose comme ça. Toujours est-il que je suis retourné à mes films classés. Je suis un garçon organisé.
Ensuite je suis sorti avec Flo, une fille très jolie… mais comment dire ? Nos ébats la laissaient de glace. Voilà, c’est ça. Froide. Pas de bol en somme. Naturellement, elle ne supportait pas que je fourre mon nez dans ses affaires : c’était sans intérêt, selon elle. Je pouvais comprendre. Mais j’ai préféré y voir un défi à relever ! J’ai essayé, à plusieurs reprises, de lui donner du plaisir, le groin dans la toundra. Je n’avais rien à perdre, à part du temps et de l’amour-propre.
Au bout du compte, les pertes ont été sèches pour tout le monde.
La troisième veinarde – comment elle s’appelait déjà ? Justine ? Marine ? Ben non, pas Marine. Faustiiine ! Eh oui, Faustine… Hé, hé, Faustine… – est-ce que je l’ai… euh… est-ce que ça compte ? De toute façon, elle n’a pas… Pff, la pauvre.
Après, j’ai connu Laura. Avec elle, ce n’est pas compliqué : j’ai découvert la sexualité. Nous avons expérimenté un tas de choses ensemble. C’était bien. Je crois que je l’aimais vraiment. J’ai commencé à me décoincer, à prendre du plaisir avec quelqu’un. Et à en donner aussi. Le courant passait entre nous ; elle m’a même appris à trouver son ...