1. Putain de Vuitton !


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, inconnu, prost, bizarre, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... visage.
    
    — Je suis sûre que vous vous demandez ce que je fais dans la vie. Une femme si jeune dans un tel appartement…
    
    J’acquiesçai d’un signe de tête tout en sirotant mon whisky, les yeux plantés dans son cul.
    
    — Je suis escort girl, chuchota-t-elle, presque pour elle-même.
    — Escort ? lâchai-je.
    — Oui, enfin… Je suppose que vous avez envie de me baiser, maintenant.
    
    Cette affirmation fit exploser quelque chose dans ma tête.
    
    Je me levai sans un mot, déposai mon verre sur le coin de la table, et me glissai lentement dans son dos nu, une tempête sous mon crâne. Je transpirais, j’avais les mains moites et mon cœur battait la chamade.
    
    — Pas seulement depuis maintenant, susurrai-je au creux de son oreille.
    
    Et d’un geste souple, je caressai sa hanche de la main. Fermant les yeux, elle laissa couler sa tête vers l’arrière et posa son verre.
    
    — Vous pouvez me sauter, si vous voulez…
    
    Accompagnant ses mots d’un geste travaillé, très érotique, elle releva lentement sa robe noire sur ses fesses en jouant des hanches, dévoilant des jarretelles noires et un string en dentelle rouge. Sa croupe était magnifique, deux pommes gracieuses séparées par un trait de fusain.
    
    N’en pouvant plus, je plaquai mon bas-ventre contre son cul, la queue en feu. Pénélope était maintenant contre la baie vitrée, les mains à hauteur de la tête sur la vitre, la joue écrasée.
    
    — Un peu que je veux.
    
    Mon pouce effleura sa nuque tandis que de l’autre main, je dégrafai mon pantalon ...
    ... qui s’affala lourdement au sol dans un froissement d’étoffe. Avant de faire de même avec mon caleçon. Ma queue était déjà dressée, en fièvre. Je la laissai dériver sur la peau douce et onctueuse de ses fesses, glissant ma main dans son profond décolleté pour caresser son sein droit. Il tenait dans ma paume, une perfection que j’avais devinée au moment où elle m’avait indiqué son adresse. Je taquinais maintenant l’aréole au gré des soupirs de Pénélope.
    
    Puis je délaçai le lien qui maintenait sa robe dans son dos, tandis que d’un mouvement d’épaules, elle la faisait glisser sur ses courbes jusqu’aux chevilles dans un bruit feutré. Une magnifique guêpière noire en dentelle la scindait au niveau de la taille.
    
    — Bon sang, ce que tu es belle, soupirai-je en palpant ses fesses.
    
    Elle passa alors ses pouces dans l’élastique de son string et entreprit de le faire glisser sur ses cuisses. Je m’accroupis derrière elle, mon visage à quelques centimètres de ce cul incroyable. Je passai alors ma langue sur le galbe de ses fesses en y laissant l’empreinte de ma salive avant de m’insinuer dans sa raie. Un léger parfum de sueur et de vanille envahit aussitôt mes narines. Mes papilles se délectaient de ce sillon étroit gorgé de plaisir. Je taquinai tout d’abord son anus, crachant une première fois pour humecter l’entrée de ce délicieux orifice.
    
    Pendant ce temps, mes doigts s’aventuraient dans sa fente parfaitement lisse. Humide, elle dégageait des effluves infernaux, émergeant de ce ...
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