Putain de Vuitton !
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
prost,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Maldoror, Source: Revebebe
... de miel avait su m’apprivoiser, elle était venue caresser mes papilles sans que j’en devine le sens. Si bien que j’avais envie de l’entendre gémir, m’interrogeant sur la teneur de son orgasme. De quelle manière cette jeune femme jouissait-elle ? Se mordait-elle les lèvres pendant l’assaut final ? Hurlait-elle à la lune comme une louve lorsque venait la petite mort ?
Nous sillonnâmes ainsi la ville, empruntant les boulevards pour rejoindre la périphérie, lorsque, au bout de quelques minutes, elle échappa un cri de surprise.
— Excusez-moi, j’ai oublié mon sac à main à la soirée. Un Vuitton… J’ai mon argent à l’intérieur. Vous pourriez me reconduire à l’adresse de tout à l’heure, s’il vous plaît.
Un sourire.
Et je m’exécutai, heureux de rester en sa compagnie plus longtemps.
Une fois là-bas, elle me remercia et me demanda de l’attendre. Ce que je fis en regardant son cul disparaître dans le hall de l’immeuble. Le quartier était un de ceux où habitaient quantité de bourgeois, tous plus fortunés les uns que les autres. Je savais qu’on y tenait régulièrement des soirées pour les types pleins aux as qui se pavanaient tranquillement au bras de leur maîtresse de vingt ans leurs cadettes. Et moi, obligé de reconduire ces salauds aux mains baladeuses et moulées dans l’or pur…
Je restai ainsi durant dix bonnes minutes, le regard perdu dans le compteur qui défilait. Ce n’était pas un problème pour moi.
Elle reparut enfin au pied du bâtiment, et se précipita à la ...
... portière en essayant de filer entre les gouttes. Elle ouvrit et, sans entrer, se pencha pour m’annoncer qu’elle n’avait pas retrouvé son sac à main et que par conséquent elle ne pourrait me payer qu’une fois sur place. Il devait bien lui rester son carnet de chèques quelque part chez elle, m’avoua-t-elle. C’est à peine si je l’avais écoutée, mon esprit s’obstinant à divaguer derrière cette jeune femme qui offrait à la rue sa croupe exceptionnelle. Je m’imaginais même deviner sa culotte pour la seconde fois.
Je lui bredouillai quelque chose qui sembla lui convenir puisqu’elle me remercia en s’installant, prenant maintenant la peine de ne pas me dévoiler son trésor.
Nous empruntâmes de nouveau les boulevards et poursuivîmes notre chemin, elle toujours réfugiée dans ses pensées.
Le silence fut résolument délicieux. Ni elle ni moi n’osions troubler cette harmonie. Elle semblait bercée par les gouttes, abandonnant son esprit à la rêverie. Je remarquai son maquillage qui avait coulé le long de ses joues suite aux assauts de la pluie. Les fins traits de khôl s’apparentaient désormais à un sillage épais qui serpentait sur sa peau savoureuse.
Il fallut vingt bonnes minutes pour arriver à l’endroit indiqué. J’aurais bien effectué quelques détours pour rester un peu plus avec elle, mais je ne souhaitais pas jouer la carte de la malhonnêteté. Cette cliente m’offrait bien plus qu’une simple course, elle éclairait ma nuit comme un phare.
Elle ouvrit la portière, déploya ses longs ...