Putain de Vuitton !
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
prost,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Maldoror, Source: Revebebe
Il pleuvait.
Des trombes d’eau s’abattaient sur la ville en cette sombre nuit estivale. Les gouttes d’eau s’éclataient sur le pare-brise pour disparaître aussitôt sous le puissant balai des essuie-glaces.
Il était trois heures du matin. Une chaleur étouffante.
Ma cliente m’attendait sur le trottoir, fumant une clope à l’abri d’un parapluie. Elle était d’une beauté païenne et léchée, possédant un visage de déesse sur lequel coulait une étrange perversité. Les lèvres pulpeuses, elle arborait un léger grain de beauté à leur commissure.
La vingtaine, elle portait une robe noire lacée dans le dos qui révélait le galbe de ses cuisses drapées dans un délicat bas de soie. Juchée sur ses escarpins à boucle de cuir vernis, elle était immobile, le poignet cassé pour tenir sa Vogue à l’abri des gouttes. Sa crinière blonde, ruisselante de pluie, dévalait la pente de sa cambrure orgueilleuse, une côte vertigineuse qui mettait en lumière la hauteur de ses jambes et les courbes de ses fesses idéalement rebondies.
Je pris une bouffée d’air pur par la fenêtre entrouverte et arrêtai le véhicule à ses côtés tandis qu’elle balançait sa cigarette d’une pichenette.
Je me penchai pour ouvrir la portière arrière avant qu’elle ne s’engouffre dans la voiture avec l’agilité d’un félin, le parapluie replié. Elle s’installa rapidement sur le siège, comme pour échapper de manière définitive à cette pluie diluvienne. D’où j’étais, les yeux fixés dans le rétroviseur, je pus apercevoir la ...
... naissance d’une étoffe rouge au moment où, s’asseyant, elle écarta légèrement les jambes. Cette dentelle de luxe nichée entre ses cuisses, tel un écrin recélant mille merveilles, fit exploser ma libido pour de bon. J’avais envie de baiser cette fille qui libérait mes fantasmes les plus enfouis. C’était la première fois que j’avais envie d’une femme de la sorte. Peut-être était-ce le fait de me retrouver en cage depuis bientôt trois ans, une cellule dont les barreaux portaient la rudesse du célibat.
La cliente se pencha ensuite vers l’avant d’un mouvement du buste pour m’indiquer l’adresse où je devais la déposer. Difficile d’empêcher mes yeux de lorgner son décolleté qui laissait entrevoir la naissance des seins. Sa poitrine, loin de l’opulence, affichait toutefois une rondeur des plus aguicheuses.
Satisfait par la présence de cette créature que je me faisais un honneur de conduire, je démarrai tandis qu’elle prenait ses aises sur la banquette, le visage noyé dans le décor urbain qui jalonnait notre parcours. La circulation était fluide, me permettant ainsi de jeter régulièrement un œil dans le rétroviseur pour contempler ses genoux. Les cuisses serrées à la manière des femmes très pudiques qui cherchent à cacher le trésor qu’elles recèlent sous leur jupe, elle fumait maintenant une nouvelle cigarette après m’avoir demandé la permission. Le comble, c’est qu’elle m’en avait demandé une, ayant remarqué mon paquet de Gauloises qui traînait sur le tableau de bord.
Sa voix ...