Putain de Vuitton !
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
prost,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Maldoror, Source: Revebebe
... je pris les escaliers et descendis à la voiture récupérer quelques outils dans le coffre. Je ne mis pas une minute pour la rejoindre, un très fin tournevis à la main.
Elle était assise sur les marches, les coudes sur les cuisses. Elle m’attendait, visiblement épuisée.
— Qu’est-ce que vous comptez faire ?
— Je peux ouvrir la porte, dis-je en exhibant le matériel. Mais ça signifie la fracturer… Rien de bien méchant, il vous suffira de faire une déclaration au commissariat pour que l’assurance vous rembourse…
Elle me considéra du regard, sans que je devine si elle me suspectait.
— C’est à vous de voir…
— Mais vous vous y connaissez ?
— Disons que j’ai fait quelques bêtises quand j’étais jeune.
Ce qui était vrai. J’adorais fracturer les appartements avec mes potes, quand on était adolescents.
Silence.
— Ok ! finit-elle par lâcher alors je m’approchai de la porte et attaquai la serrure.
Et au bout de cinq petites minutes, je finis par en avoir raison. Je n’avais pas perdu la main. Le claquement caractéristique de l’ouverture lui tira le sourire et elle apparut soulagée.
— Après vous, dis-je en la laissant passer la première.
Je la suivis tout d’abord dans un couloir pour arriver dans un loft au décor design et moderne. Une large baie vitrée donnait sur les immeubles d’en face, au loin, offrant une vue d’ensemble sur le paysage urbain.
Le salon était énorme, dépourvu d’artifices. Un carrelage blanc, un divan rouge en U, un écran plat, et un ...
... bar américain. Un autre couloir menait sans doute à la chambre et aux sanitaires. En pleine journée, cette pièce devait être copieusement éclairée.
— Asseyez-vous, proposa-t-elle en désignant le divan.
Ce que je fis.
— Un café ? Un whisky peut-être ?
— Un whisky, oui, je veux bien.
Elle fila au bar et revint déposer le verre sur la table basse en face du divan.
— Je vais tenter de dénicher mon chéquier, dit-elle en souriant.
Ses hanches ondulèrent sous ses pas pour s’estomper dans l’ombre du couloir, telle une apparition spectrale.
Assis sur le divan en cuir, j’examinai la place. Pas de doute, cette fille vivait dans le luxe. Ses parents devaient être fortunés, ou bien, moins probable, elle palpait déjà un paquet de pognon.
Au bout de longues minutes, elle me rejoignit, la mine grave. Se servit un whisky. Puis, s’installant à l’autre bout du divan, croisa ses longues jambes en prenant une gorgée.
— Écoutez, je suis embêtée, je ne retrouve pas mon chéquier…
— Décidément, vous jouez de malchance.
Elle déglutit.
— Je ne sais pas comment je vais vous rembourser… Vous pourriez peut-être repasser demain ? Je… je suis vraiment confuse…
Sans m’en rendre compte, je la dévorais du regard, la mâchoire crispée. Ses interminables jambes galbées à deux mètres en face de moi et ses seins presque révélés me foutaient une trique d’enfer.
Elle dut s’en apercevoir puisqu’elle se leva pour se planter face à la baie vitrée qui reflétait maintenant son ...