1. Putain de Vuitton !


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, inconnu, prost, bizarre, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... ciseaux, fit quelques pas en direction de l’immeuble, puis revint subitement à la voiture. Ouvrit la portière du passager avant, se pencha en m’offrant son prodigieux décolleté qui perlait sous ses seins.
    
    — Vous voulez monter prendre un café ? Le temps que je mette la main sur mon chéquier…
    
    Elle vit que j’affichais une certaine surprise.
    
    — Je vous dois bien ça, ajouta-t-elle en souriant.
    
    Sans un mot, je coupai le moteur et verrouillai la voiture d’un geste du pouce sur la commande des clés. Avant de suivre ses jambes de gazelle à l’intérieur de l’immeuble. Elle appela l’ascenseur et s’engouffra aussitôt à l’intérieur. Ce que je fis à mon tour. Puis elle appuya sur le bouton du cinquième étage, tentant vainement de chasser la gêne qui nous habitait lentement.
    
    Les yeux dans le miroir, je la caressai du regard, détaillant chacune de ses formes, le visage rougi par l’excitation. Je la devinais nerveuse. Le silence n’avait désormais plus rien d’harmonieux. Je savais qu’elle se demandait maintenant si sa proposition était une bonne idée. Sans doute aurait-elle dû me laisser pourrir dans ma voiture, le temps qu’elle déniche l’argent de la course…
    
    Il était désormais trop tard. Mais trop tard pour qui ?
    
    Les portes coulissèrent pour laisser place à une cage d’escalier très moderne et parfaitement entretenue. La jeune femme s’approcha du numéro 5 et…
    
    — Merde, mes clés !!! s’exclama-t-elle en portant la main à sa bouche.
    
    J’avoue que je n’y avais pas pensé une ...
    ... seule seconde, tourmenté par la puissante érection que ma cliente exerçait sur moi. Les clés étaient dans son sac Vuitton. Inévitable. Je savais maintenant combien le sac à main des femmes pouvait être retors lorsqu’il le désirait.
    
    — Bon ben on fait quoi ? demandai-je.
    — Excusez-moi de vous demander ça, mais vous auriez un portable ? Je voudrais téléphoner à une amie qui possède un double. Elle est peut-être chez elle…
    
    Je sortis mon téléphone cellulaire de ma poche et le lui tendis. Un sourire de sa part.
    
    — Merci, Monsieur, merci beaucoup…
    
    Puis elle s’éloigna dans l’escalier avant de composer le numéro. Je n’en pouvais plus. J’étais terriblement excité, sans que je sache si c’était dû à elle ou à cette situation des plus cocasses…
    
    Je l’entendis bientôt murmurer, la bouche collée à mon portable, m’imaginant déjà le sentir pour m’imprégner de son odeur. Un parfum troublant où se mêlaient les effluves de la fumée de cigarettes.
    
    Dans le message qu’elle laissa, je notai un prénom, le sien. Pénélope.
    
    Elle revint ensuite vers moi en faisant la moue.
    
    — Elle n’est pas chez elle, évidemment…
    — Évidemment, lâchai-je avec un sourire en coin.
    
    Un silence.
    
    — Bon, et maintenant ?
    — Je… je ne sais pas, bredouilla-t-elle.
    — Je peux vous ramener à la soirée, dis-je.
    
    Elle esquissa un sourire nerveux pour réponse. À l’évidence, ce n’était pas une bonne idée.
    
    — J’ai peut-être une solution, dis-je. Attendez-moi un instant…
    
    Et avant même qu’elle me réponde, ...
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