Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... t’en voudraient pas de manquer de courage - je ne pourrai rien pour t’éviter les affres du feu éternel, où tu seras en compagnie des plus grands criminels de notre monde.
— Non, je ne suis pas une lâche, a dit Blandine après une hésitation.
Poussée en avant par un sursaut d’orgueil, elle a pris une grande inspiration, puis a retiré ses chaussures, et sa longue jupe qui couvrait ses jambes en totalité. Pièce après pièce de tissu, son immense beauté se révélait à nos yeux. Nous avions éteint les lumières, ne laissant comme éclairages que des bougies, rouges pour la plupart, qui nous baignaient dans une atmosphère sanglante, surréaliste. Je me suis demandé si je rêvais, si notre fantasme commun se réalisait en vrai ou entre les bras de Morphée. Ma verge bondissait dans mon slip. Karine et moi nous étions imposés trois jours d’abstinence afin de nous trouver au mieux de notre forme sexuelle. Pour Pierre, une telle durée sans sexe était tout bonnement impossible : il s’était contenté de ne s’accoupler qu’avec deux paroissiennes, dans la journée qui a précédé.
La chaste Blandine a dû se résoudre à nous montrer ses jolis seins tout blancs à force de rester dans l’ombre du soutien-gorge. Ils étaient comme deux oiseaux qui prenaient leur envol après des années de captivité. Les tétons se déployaient d’envie. Elle avait l’habitude de les pincer alternativement, tout en se caressant de l’autre main. Il ne restait plus que la culotte. Blandine hoquetait. Lui eût-on demandé de ...
... se plonger un poignard droit dans le ventre que cela n’aurait pas été plus difficile que de se montrer nue en public. D’autant qu’une circonstance aggravait son humiliation, et nous le savions, car sa mère nous avait prévenus et nous avions fixé le calendrier tout exprès : elle avait ses règles, et elle allait devoir le montrer. Ce détail m’excitait particulièrement.
— Apaise tes larmes, Blandine. Nous ne sommes pas là pour t’accabler, et tu peux compter sur notre compassion autant que sur celle du Tout-puissant pour t’aider dans cette épreuve.
— Merci, Père, mais je n’arrive pas à enlever ma.. ma…
Elle n’osait même pas prononcer le mot « culotte ». La retirer en public, même si c’était un faux public, représentait pour elle une torture sexuelle tout-à-fait admirable et digne des bourreaux les plus cruels.
— Alors, nous allons demander à l’assemblée de chanter pour te donner du courage, et pendant ce temps, tu vas t’agenouiller devant la croix du Christ et tu vas prier afin que l’Esprit-Saint descende sur toi et te donne la force de continuer la cérémonie d’expiation. Surtout, quoi qu’il advienne, ne cesse pas d’invoquer le Seigneur et ne t’inquiète pas de ce que tu pourrais ressentir.
J’ai déclenché le programme « chant à Marie » pour la fausse assemblée : enregistrée au cours d’une première communion dans une église comble, l’assistance semblait aussi vraie que ce jour-là.
Vous êtes belle, ô Notre Dame,
auprès du Père en Paradis,
Comblée de biens par ...