Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... l’avons interrogée sur un ton des plus sévères, à trois voix, en changeant de place à tout moment, afin qu’elle fût désorientée. Parfois, nous lui parlions avec douceur, afin d’alterner le chaud et le froid – autrement, elle risquait de s’enfermer dans le silence. Ainsi « cuisinée », elle a facilement avoué qu’elle venait juste de s’adonner à cette turpitude, n’y pouvant résister malgré ses efforts de volonté. Elle s’en voulait énormément et nous a supplié d’être très sévère afin de la délivrer de ce mal.
— Châtiez-moi, mon Père, je vous en conjure. Je sens déjà les griffes de Satan de refermer sur moi, et son souffle sur ma peau, la nuit. C’est insupportable.
— Tu es possédée par le démon, mon enfant.
— Allez-vous pouvoir la sauver, Père, s’est inquiétée la mère ?
— Taisez-vous, Madame, je vous en prie. Laissez-moi me concentrer afin de tout mettre en œuvre pour sauver votre fille. L’opération est difficile : ce n’est pas pour rien qu’on appelle le démon le Malin. Il me faudra l’arracher des entrailles de cette jeune fille en perdition.
— Je consens à souffrir sans limite, a dit Blandine dans un sanglot.
— Avant toute chose, Blandine, je dois te prévenir : le sacrement que je me prépare à te donner est efficace, mais secret. Tu n’en dois rien révéler à personne, même pas à te meilleure amie, sinon le Diable reviendra sans difficulté pour te posséder à nouveau, et nous ne pourrons plus rien faire pour t’aider. Tu as bien compris ? Un silence absolu !
— ...
... Oui, mon Père. Personne n’en saura jamais rien : je vous en fais la promesse solennelle.
— Dans ce cas, déshabille-toi, Blandine.
— Vraiment, le faut-il absolument, comme chez un médecin ? Puis-je au moins conserver mes sous-vêtements ?
— Non, il faut que tu sois complètement nue. En effet, il faut montrer à tes sœurs et à tes frères de religion à quoi ressemble le mal qui te laboure et qui offusque le Dieu tout puissant.
Embarrassée, tremblante, mais courageuse, elle a commencé à retirer son corsage, nous montrant son soutien-gorge, ce qui augurait déjà d’incroyables vénustés. Mais elle rougissait terriblement. Ses sanglots ont redoublé. Elle était bloquée par la pudeur. Karine lui a donné un mouchoir, puis elle a modifié le fond sonore pour faire croire à des murmures intéressés de l’ensemble des centaines de fidèles.
— Faut-il vraiment que j’en passe par là ?
— Allons, courage, Blandine. Il le faut. Ce n’est que le commencement, a dit Pierre.
Nous avons cru qu’elle allait s’évanouir, ce qui n’était pas du tout dans nos plans. Je lui ai fait boire une tasse de café fort et très sucré, afin de lui redonner de l’énergie, un peu comme le légionnaire qui a offert de la boisson vinaigrée au Christ crucifié. Contrairement au Christ, elle a tout bu et m’a adressé un merveilleux sourire de reconnaissance. Le dernier sourire de l’innocence que nous avions déjà commencé à bafouer.
— Veux-tu renoncer, reculer devant ta croix, a risqué Pierre ? Si oui - nous ne ...