1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Fatima, elle avait la cinquantaine et elle était très jolie. Le dimanche après-midi, elle venait à la maison, elle prenait le café, puis elle se déshabillait et se couchait sur la table de la cuisine, comme tu viens de le faire, et Papa la torturait pendant des heures. Il la branlait, aussi, avec un appareil de massage qu’on n’appelait pas encore sextoy, mais qui était plutôt efficace. Maman et moi participions quelquefois, mais la plupart du temps, nous nous contentions de regarder en nous caressant mutuellement le minou. Quand Fatima atteignait un orgasme, que ce soit celui du plaisir ou de la douleur, avec des volts plein la chatte, Maman le suçait, ou bien c’était moi. Cela nous excitait autant que lui. Un jour, il a eu une crise cardiaque pendant qu’il officiait, son membre dur dans ma bouche. J’étais étudiante en médecine et le massage cardiaque que j’ai tenté pour le sauver n’a pas suffi. Il est mort heureux, la bite levée. Nous avons libéré Fatima ; elle est partie et nous ne l’avons jamais revue.
    
    Ensuite, ma mère m’a dit que vivre sans mon père ne l’intéressait pas. Alors elle s’est allongée sur la table et je l’ai torturée à mort, comme elle me l’a demandé. C’est comme cela que j’ai perçu mon héritage qui me dispense de travailler et me permet de payer afin d’assouvir ma passion… voilà, les électrodes sont posées. Attention, je vais t’envoyer la gégène. C’est la première fois ? Tu vas voir : tu vas dérouiller comme jamais. Tu es prête ?
    
    Pierre et moi ...
    ... nous étions assis sur un banc de devant, afin d’être aux premières loges de spectacle obscène. Nous avons sorti nos membres virils ; mon ami s’astiquait comme un fou, l’aube relevée, en envoyant des giclettes de sperme à gauche et à droite, tandis je m’excitais tranquillement, afin d’économiser ma précieuse semence. Ma femme était plus désirable que jamais dans son rôle de bourreau. Nous la voyions se cambrer sous l’effet des orgasmes sadiques, pendant que Léa se débattait en enfer. Mais ce que nous ignorions, c’était que Blandine, au lieu de rentrer chez elle comme nous lui avions demandé, était restée dans l’église, cachée au fond, et qu’elle n’a pas perdu une miette de cette horrible scène…
    
    Je crois que les murs de cette église résonnent encore des hurlements de Léa. Cependant celle-ci s’est montrée courageuse, car elle n’a pas dit le mot de sécurité.
    
    Jour 5
    
    La nuit suivante, nous avons dépucelé Blandine sous les yeux de sa mère. Elle se tenait à genoux sur l’autel, les yeux toujours bandés, pour lui faire croire que trois cents personnes la regardaient.
    
    Le célébrant a prononcé ces phrases au micro :
    
    — Blandine, consens-tu à recevoir le baptême charnel ?
    
    — Je consens, a-t-elle répondu.
    
    — Rejette-tu ta pudeur ? Toute ta pudeur ?
    
    — Je la rejette.
    
    — Acceptes-tu la douleur de la pénétration par tous les orifices de ton corps, afin d’accéder au pardon de tes péchés et de mériter ton accès au paradis une fois que tes jours seront terminés ?
    
    — Je ...
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