Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... déshabilles, tu t’allonges sur l’autel, je vais t’attacher, et te torturer. Cela ne durera pas plus d’une heure, et je te promets de respecter ton intégrité physique : tu n’en garderas aucune séquelle. De plus, tu peux me demander d’arrêter à tout moment. Le mot de sécurité est « ostie ». Dans ce cas, je te donnerai quand même la moitié de cette somme, même si tu stoppes le supplice au bout de trente secondes.
Léa a hésité. Elle avait peur, mais ces cinq mille euros allaient la mettre à l’abri du besoin pour un bon moment.
— Quel genre de torture ?
— L’électricité, a répondu Karine en lui montrant la génératrice et les électrodes. Mon père, qui était capitaine pendant la guerre d’Algérie, l’a énormément pratiquée sur les fellaghas, et aussi sur de jeunes musulmanes du bled qu’il trouvait jolies et qu’il faisait enfermer au secret afin de s’occuper d’elles en toute discrétion, malgré les hurlements qu’elles poussaient. Il aimait tellement ça qu’une fois libéré de l’armée, il ne pouvait plus s’en passer. Alors il assouvissait sa passion sur ma mère qui l’aimait tellement qu’elle a fini à son tour par aimer ça, puis sur moi, dès que j’ai atteint l’âge de dix-huit ans. Il m’a appris cet art délicat. Encore faut-il trouver des victimes qui consentent à cette pratique hors norme. Mon mari, bien-sûr : il est toujours partant. Mais je préfère torturer les femmes : question de sensibilité personnelle. Vois-tu, je suis bisexuelle et c’est une façon très particulière de ...
... baiser, atrocement douloureuse pour la soumise, certes, mais si excitante pour moi !
Pendant que ma femme racontait ses souvenirs de famille, Léa s’est déshabillée, façon d’accepter la proposition, puis s’est couchée sur le dos sur la surface froide de l’autel de l’horreur. Karine s’est farcie le vagin et l’anus avec des boules de Geisha vibrantes, ce qui lui permettait de jouir pendant qu’elle torturait. Elle ne parvenait que difficilement à l’orgasme dans des conditions normales de sexualité, car sa personnalité était sadique. Je l’adore comme cela.
Elle a d’abord vérifié avec son stéthoscope qu’il n’y avait pas de risque, puis elle a branché tout un réseau de petites pinces crocodiles sur les tétons, les pieds, les mains, les grandes lèvres, les nymphes et autour du clitoris, après avoir badigeonné d’eau savonneuse pour un meilleur contact. Déjà la douleur naissait du pincement des zones sensibles, ce qui n’était rien comparativement à ce qui allait suivre. Tout en préparant sa soumise qui avait si peur qu’elle claquait des dents, Karine continuait à raconter :
— La plupart des victimes de mon père ont sombré dans la folie après ce qu’il leur avait fait subir, et se sont suicidées. Enfin, sauf celles qui ont fait l’objet d’une « corvée de bois », bien-sûr. Malgré tout, certaines – très rares - ont aimé ce qu’elles ont subi : de véritables masochistes, des passionnées. Il a revu l’une d’elles après la guerre, et l’a aidée à obtenir un titre de séjour. Elle s’appelait ...