La lutte des classes (2) - Histoires de Sexe

La lutte des classes (2)

... aussi. Je vois vite que mes camarades font la même chose. Il serait dommage de ne pas profiter de corps mis à disposition.

— Bien, sortez, on va vous sécher; sinon vous allez me faire une pneumonie ! leur dit Chef.

Elles ne réagissent presque pas quand on les frotte avec la serviette. Alors qu’on y va assez fort, faisant rougir leurs peaux.

— Bien, vous allez nous laver maintenant.

Elles doivent nous dévêtir et l’on ne leur facilite pas la tâche. Elles nous suivent dans l’eau et nous mouillent délicatement. Sans doute ont-elles peur d’avoir une punition si elles nous aspergent trop d’eau glacée. Puis, elles nous savonnent le corps. Mais elles évitent soigneusement nos sexes.

— Vous lavez tout ! leur dit M.

— Allez ! ajoute R.

Elles sursautent de peur et entreprennent le lavage de nos bites. Elles font cela du bout des doigts comme si elles craignaient que nos membres n’explosent dans leurs mains. Avec l’eau froide du torrent, elles ne risquent pas grand-chose.

— C’est la première fois que vous touchez à une bite ? demande B.

Aucune ne répond. B balance une baffe sur Deux qui le lave. Elles reçoivent toutes le même châtiment.

— Oui, répond Deux.

En fait, Trois, Quatre et Cinq aussi.

— Non, j’ai déjà touché un garçon, répond Un.

— Tu as fait quoi avec lui ? Tu as baisé ? lui demande R.

Elle rougit, mais répond quand même :

— Non ! Pas avant le mariage !

— Tsss. Quelle morale étriquée ! Et à part toucher, tu as fait quoi ? demande ...

... Chef.

— C’est tout, il voulait aussi me toucher, mais on a pas eu le temps.

— Et avec des filles, vous aviez fait des trucs avant hier soir ? les questionné-je à mon tour.

Cela ne répond pas, mais cela se mordille les lèvres. Cinq baffes arrivent sur les joues. Du coup, elles nous avouent qu’elles ont un peu découvert entre elles leurs corps qui changent. Mais c’était surtout pour se comparer et pas vraiment pour se gouiner.

— En gros, vous êtes toutes vierges et innocentes, résume M.

— Oui, et normalement, je suis là pour m’assurer qu’elles le restent, nous indique Un.

— Innocentes, vous ne le serez plus en nous quittant. Vierges, ça dépendra de vous, les prévient Chef.

Une grande inquiétude se lit dans leurs yeux. Cela me plaît qu’elles aient cette menace sur elles. Mais moi, je suis puceau, B, M et R aussi. Alors, cela nous fait un peu chier de se dire qu’on ne va pas pouvoir se déniaiser avec elles. Chef nous fait sortir de l’eau, les chiennes nous sèchent doucement. Comme on a plus l’eau froide pour nous calmer, nos sexes se mettent à l’horizontale. Nos esclaves sont subjuguées par la vue de nos membres. Pourtant, personne n’est monté comme un poney. Mais c’est la première fois qu’elles voient un sexe en érection. Hier soir, on s’est branlé au-dessus d’elles, mais elles étaient occupées à autre chose. Et quand on s’est essuyés sur elles, nos sexes avaient ramolli. J’aurais bien voulu profiter de ce moment, mais Chef nous demande d’inspecter le corps ...