La lutte des classes (2) - Histoires de Sexe

La lutte des classes (2)

... ses côtés. Lui, se pose sur une pile de vêtements usagés. Je prends le carnet et commence la lecture.

* * *

13 août :

Je me réveille avec la sensation d’avoir rêvé les évènements de la veille. Il ne fait pas très chaud ce matin. Je me demande si les scouts ont eu froid. Pas que je me fasse du souci pour elles, mais si elles chopent une pneumonie, cela va être compliqué à gérer. Je me redresse, je vois que l’un de nous leur a donné des couvertures. C’est qu’on en avait amené une deuxième chacun au cas où la première aurait été mouillée par la pluie. Elles font pitié à voir, elles sont décoiffées, sales et poisseuses du sperme qu’on leur a mis. Elles souffrent vraisemblablement d’avoir eu les mains attachées toute la nuit. Chef vient les voir :

— Bon, je vous ai donné une couverture pour pas que vous tombiez malades. Nous, on prend soin des gens qui sont sous nos ordres.

— Ah, c’est pour ça qu’il a fait ça, je songe.

— On vous détache pour l’instant. Si vous vous comportez docilement, vous aurez le droit de dormir sans entrave. De toute façon, on va continuer les tours de garde. Compris ?

Elles acquiescent sagement. Un et Quatre voudraient reprendre leurs affaires, mais elles se font sermonner par Chef :

— Vous avez demandé la permission ? Non, alors vous restez nues. Allez préparer le petit-déjeuner !

On se fait servir par les filles. Il faut leur faire baisser les yeux de temps en temps, surtout Quatre. Elles mangent quand on a fini puis rangent ...

... tout.

— Prenez vos uniformes ! Camarades, prenez vos savons et vos serviettes. On descend à la rivière pour un bain matinal.

On tire chacun, une des filles. Chef a pris Quatre, il la mène plus durement que nous n’avons besoin de la faire avec les autres. Surtout Deux et Cinq qui sont devenues bien serviles. Mais je me méfie quand même, cela pourrait être une ruse. Trois, que je guide, a besoin de temps en temps que je tire sur sa laisse, mais elle suit le mouvement. R a hérité de la cheftaine. Il est aux aguets, car il redoute qu’elle tente quelque chose. Moi, je crois qu’elle ne laisserait pas ses scouts entre nos mains. On arrive à notre "salle de bain".

— Allez, à l’eau ! ordonne-t-il aux chiennes.

Elles se regardent sans bouger. Chef donne une énorme fessée à Quatre. Nous faisons de même avec ses copines. Cela crie, cela pleure, mais cela rentre dans l’eau. Par contre, elles se tiennent debout sans bouger. L’eau doit ne pas être chaude de si bon matin. Chef nous fait enlever chaussures et chaussettes. On entre dans l’eau et on les arrose copieusement. Elles s’époumonent tant l’eau est froide. Surtout qu’on doit mouiller leurs cheveux. Puis, avec un morceau de savon, on les frictionne vigoureusement.

La boulette Trois se laisse faire. Je passe mes mains partout sur son corps. Je profite de la situation pour bien explorer un corps féminin. Je soupèse les seins, teste la fermeté des fesses. J’insinue mes doigts entre ses cuisses sous prétexte de la laver, là ...