Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... !
Rien n’y fait.
• C’est moi qui décide, tais-toi, petite pute, tu es habituée aux gros calibres, non ?
Je dois être ouverte à l’extrême car petit à petit la douleur est remplacée par une douce chaleur ; le plaisir est là et ses vagues commencent à me submerger.
Jacqueline, elle, commence à gémir, son plaisir arrive :
• oh je jouis, salope ton cul est bon, suce moi maintenant »
Elle se retire, c’est un grand vide brusquement. Son gode me manque. Sa main me pousse vers le bas et c’est une chatte trempée, ruisselante que ma langue ouvre. Je lui titille le minou, puis je rentre ma langue le plus loin possible, aspirant les sécrétions de son plaisir.
Fabienne, de son côté, ne reste pas inactive, ses doigts me pénètrent et me fouille la chatte détrempée. Sa main se presse dans l’entrée, accentuant la pénétration ; j’écarte au maximum mes cuisses et la main gagne du terrain. Voulant être tout à mon plaisir, je fais jouir Jacqueline en lui mettent deux doigts dans le petit trou. Elle ne résiste pas et part dans un feulement continue et à nouveau sa chatte se remplit de cyprine.
La main de Fabienne est maintenant presque rentrée, je suis dilatée, ouverte comme tout à l’heure et soudain, la main entre en entier, elle y va jusqu’au poignet. Elle me branle comme un sexe, ses va et viens s’accélèrent et mon plaisir revient.
J’aime être fistée et le déferlement commence ; à chaque mouvement, ma jute sort de mon vagin et s’écoule ...
... le long de mes cuisses
• J’aime ce que tu fais, continue, baise ta petite salope, je pars ...
Toute l’après-midi, ces femelles m’ont soumise, me pénétrant à tour de rôle, sans que je puisse le faire, je suis leur jouet et pour finir, comme deux males en rut, Jacqueline et Fabienne, puis Céline et Christel, qui avaient perdu toute innocence, m’ont prise en double, avec leur godes, s’embrassant à pleine bouche par-dessus mon épaule. J’ai les deux trous investis : soumise, j’encaisse leurs baises sans frémir, le plaisir est continu, et peu après leurs jouissances les submergent.
A la fin de la journée, les quatre femmes promettent de venir chez nous pour profiter à nouveau de mon corps. Jacqueline leur suggère de participer aux parties SM organisées par Marie C dans la propriété de Jean et Christine et dont je suis le centre. Olivier et Serge lui ont parlé de ces soirées et je sais que la lesbienne rousse a envie d’exercer sur moi ses envies les plus inavouables. Elle veut voir jusqu’où je suis capable d’aller et me voir punie et souffrir.
En rentrant, Rachid nous attendait avec impatience. Il a voulu que Philippe et moi lui racontions cette après-midi de débauche.
Rachid me prit par la main.
• Philippe tu l’as vu toute l’après-midi se faire gouiner, maintenant tu vas voir qu’elle a besoin d’être saillie par son mâle. Viens nous mater, je vais la pilonner.
Et il est vrai que mon mari candauliste en avait autant envie que moi.