Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... passer une main derrière ses fesses, à mon tour de chercher son bouton que je ne trouve pas quand elle écarte les cuisses. Par contre je passais sur son anus, puis enfin j’entrais dans son con. J’y mettais trois doigts que je faisais aller et venir. Son corps accompagne mes doigts. Je ne pensais pas qu’elle soit si sensible quand elle jouit assez rapidement. Je laisse mes doigts dans cet antre de plaisir. Je sens la chaleur de son corps ainsi que la mouille de son sexe.
Nous nous sommes installées comme il fallait : elle est sous moi, je sens sa langue fouiller ma chatte et entrer dans mon petit con. Elle me tient les fesses pour être à l’aise, je lui demande de venir dans mon cul. Je suis justement en train de lui mettre un doigt dans l’anus quand elle me met deux doigts dans le cul.
Je suis brisée par le plaisir, mais elles en veulent encore. Elles sont toutes les quatre autour de moi, pour une apothéose de plaisir.
Les mains des quatre femmes m’investissent. Mes tétons sont pincés, tiraillés, et des mains descendent sur mes hanches, avant que des doigts me fouillent mon ventre avec brutalité. Jacqueline, elle pénètre avec méchanceté mon petit trou. J’essaie de me débattre, mais une claque me sonne les fesses et Fabienne en profite pour me tordre les mamelons. La douleur me fait hurler, et à nouveau mes fesses sont claquées.
• Tais-toi et écarte les jambes !
J’obéis et un orgasme foudroyant me saisit quand des doigts me remplissent à nouveau la chatte. ...
... Céline s’est allongée sur le canapé et écartant ses cuisses me dit
• Suce-moi encore, nettoie-moi le minou.
• Oui chérie, gouine encore ma salope de secrétaire. Elle te plait ma femme, Céline ?
• Oh oui, Monsieur, je suis amoureuse d’elle, ouiiiiii
Jacqueline me pousse la tête entre ses jambes ; j’aime sa chatte et sans hésitation, ma langue s’infiltre dans les petites lèvres, je mordille le clito, puis j’aspire sa mouille. Ma langue va dans le sillon et lui lèche l’œillet. Puis va d’un trou à l’autre : l’anneau s’ouvre sous les caresses de ma langue. En me criant des mots d’amour, elle jouit et mouille abondamment et je bois sa cyprine.
Céline est déchainée :
• avale tout, salope, lèche moi encore !
Tout à mon plaisir de satisfaire ma jeune maitresse, j’ai oublié un moment les autres. Un objet froid vient se poser sur mon sillon et force l’anneau. Jacqueline a sorti son plus gros gode, un vrai monstre. J’ai l’impression que mon cul va éclater, tant il est gros ; Jacqueline pousse sans douceur, puis d’un seul coup me perfore et je sens son pubis sur mes fesses. Je hurle ma douleur, mais rien n’y fait, au contraire mes cris doivent lui plaire, car son mouvement s’accélère et toujours plus fort, elle me viole comme un homme, puissant et membré. Ses ongles labourent mon dos, me faisant saigner, tandis qu’elle plante ses dents dans mon épaule et au niveau de mon cou, voulant me laisser un souvenir de cette après-midi de débauche.
• C’est trop gros Jacqueline ...