1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !


    Datte: 08/03/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... la fin ! Fais-moi goûter ton plaisir !
    
    C’est au tour de Christel, qui vient d’être initiée par Fabienne, de profiter de mon corps. Comme avec Céline, je veux prendre mon temps, que ce soit inoubliable pour cette jeune femme. Je m’installe sur le canapé. Nous nous regardons en détail.
    
    Physiquement, elle était plutôt jolie, elle avait un visage en longueur aux pommettes saillantes et des lèvres pulpeuses, de longs cheveux châtains et des yeux bleus.
    
    Christel était un peu plus petite que moi, avec un fin tour de taille. Elle avait un joli petit cul cambré et surtout une superbe poitrine aux gros seins. C’était exceptionnel d’avoir d’aussi gros seins pour son tour de taille.
    
    Je la trouve bien faite et sexy, elle aussi me trouve à son goût. Je suis restée couchée, elle se penche sur moi.
    
    Elle s’allongea sur moi et commença à m’embrasser. Je sentais qu’elle restait un peu réservée, un peu timide. Je décidais de détendre l’atmosphère. Tout en l’embrassant, je lui caressais le cul avec insistance. Nos respirations s’accélérèrent. Nos baisers devenaient passionnés et fougueux.
    
    Sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. Elle embrassait vraiment bien et je me laissais aller. Je sentais mon antre se mouiller.
    
    Je restais bouche bée devant ses superbes seins dressés de désir, ne me retenant plus, je plongeai la tête en avant pour lécher et peloter ses seins, mordiller ses tétons tout durs. Ma langue allait et venait sur le bout de ...
    ... ses seins, et Christel gémissait, cambrée en avant. J’étais aux anges
    
    Je peux en profiter pour prendre un téton dans ma main. Je la pelote sans crainte. Elle se laisse faire et me le rend.
    
    Elle se retrouva nez à nez avec ma fente luisante de désir.
    
    • Oh oui vas-y ma belle, vas-y, murmurai-je.
    
    Elle posa timidement sa bouche sur ma fente, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis elle s’approcha un peu plus de moi. Je me demandais ce qu’elle allait faire.
    
    Elle prit ses seins à deux mains et se mit à se caresser devant moi, puis elle se déshabilla et se branla devant moi.
    
    Christel, qui découvrait les plaisirs saphiques, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Et elle avait l’air d’adorer ça en plus, elle se branlait en poussant des soupirs, puis elle me dit :
    
    • Tu devrais en faire autant, s’est si bon.
    
    Je me mis à me branler la chatte, elle regardait avec passion et, voyant mon expression de bonheur, elle me sourit.
    
    Cela m’excita énormément venant de cette fille qui peu avant semblait réservée et gênée. A genoux sur le canapé, Christel accéléra le mouvement de sa main sur sa vulve, ses superbes seins se balançant de plus en plus rapidement.
    
    Elle hurla son plaisir, puis m’embrassa longuement.
    
    • Oh que c’est bon, me dit-elle avec un sourire de cochonne.
    
    Elle s’allongea près de moi et se mit à me branler pour me faire jouir.
    
    Le plaisir monta rapidement en moi et je lui dis :
    
    • Tu es incroyable.
    
    Je jouis en feulant de bonheur, ...
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