Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... J’ai raconté, dans mon premier récit, comment Maria, l’épouse de mon initiateur, Gianni, m’avait à son tour fait découvrir les plaisirs saphiques. Rien ne remplacera jamais pour moi une étreinte virile et j’ai besoin d’être prise, possédée, par un mâle, et encore mieux par plusieurs, et me comporter comme leur objet sexuel. Mais j’ai aussi besoin des caresses et du plaisir que peuvent se donner entre elles les femmes. J’ai eu beaucoup moins d’amantes que d’amants, mais elles ont, elles aussi, marqué ma vie sexuelle et sentimentale.
J’ai parlé dans mes récits antérieurs de quelques-unes de ces aventures : Daphnée (récit n°2) quand j’étais lycéenne et étudiante, de mes collègues Britannique Ann et néerlandaise, Ursula (récit n°3, avant que je connaisse Philippe) ou encore Rita, une jeune prostituée, qui fut mon amante (récit n°11). Il s’agissait de relations exclusivement sexuelles.
La première fois et au final la seule fois que je suis tombée amoureuse d’une femme, ce fut avec Agun, mon esthéticienne et masseuse d’origine thaïlandaise (récit n°6) que j’ai retrouvée bien plus tard et que je considère désormais comme ma femme, ma compagne. Agun est d’ailleurs la seule femme avec qui j’ai eu et j’ai une relation sentimentale durable. Je place à part la liaison que j’ai eue avec Christine, qui a beaucoup compté dans mon parcours bisexuel (récit numéro 14). Il n’y avait aucun aspect sentimental dans les rapports saphiques que j’ai eus par la suite avec d’autres femmes, ...
... dont mon ennemie Marie C, ou encore avec ma rivale Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe.
Au moment où se passe ce récit, la relation, intense, passionnée et courte que j’avais eue avec Christine était terminée. Et je ressentais un vrai manque de ce côté-là. La demande de Jacqueline et des collègues était donc pour moi aussi une occasion. En plus, ce serait ma première véritable partouze lesbienne, puisqu’elles étaient quatre, dont deux novices qui voulaient découvrir le plaisir entre femmes.
Les femmes avaient exigé que Philippe soit présent, mais il n’était pas question non plus qu’il participe, il ne devait qu’être le spectateur. Ces femmes avaient, elles aussi, en tête l’idée «d’humilier le cocu».
Je choisis de porter une jupe, un mini-string, un chemisier clair sans soutien-gorge, dont j’avais pris soin de bien de ne pas fermer les boutons du haut, pour qu’on voie bien mes petits seins fermes. Nous nous sommes retrouvés, Philippe et moi, avec les quatre femmes, en présence de Serge et d’Olivier, à la terrasse d’un café, à proximité immédiate du bureau de Philippe.
Jacqueline était une rousse plantureuse, dont le décolleté était plongeant pour mettre en valeur ses gros seins fermes et impressionnants. Elle devait avoir la cinquantaine. C’était manifestement une dominatrice et ne cachait pas qu’elle était exclusivement lesbienne. Je me suis sentie immédiatement sous sa coupe.
La deuxième protagoniste, Fabienne, 27 ans, était une collègue de travail très ...