Les grosses bites
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
grossexe,
noculotte,
odeurs,
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Mamadou, Source: Revebebe
... couvait tout pareil sinon pire. Dans l’appartement, l’atmosphère était lourde de sens ; Jean-Yves ne me quittait pas des yeux. Je sentais littéralement son désir, j’humais le fumet de son appel, toutes narines ouvertes.
Depuis j’ai appris que je devais cette fragrance à l’androstérone, un produit de dégradation de la testostérone, dénonçant la puissance virile, et dont l’odeur est puissamment attractive pour certaines femmes, dont moi sans nul doute. Les élues perçoivent un arôme doux et légèrement vanillé dont l’attrait et l’effet s’apparentent à celui d’un puissant élixir aphrodisiaque pour peu qu’un certain nombre d’autres paramètres soit réuni.
Aujourd’hui que la science du cerveau a fait d’énormes progrès, j’en suis venue à considérer que je présentais une grande compatibilité et pas seulement au niveau des récepteurs olfactifs. C’est dire que je pouvais difficilement échapper à mon destin.
Dans ces temps là, je ne soupçonnais pas ma prédestination implacable. Nul doute cependant que j’en subissais l’emprise tandis que je planifiais mes futures frasques mais il nous fallait d’abord souffrir notre impatience jusqu’à coucher Valérie. Je me forçai donc à calmer le jeu, endurant l’attente. Je mis à profit ce laps de temps pour mettre au point mon plan d’action puisque ma décision était prise : c’était clair dans ma tête, j’agirais le soir même ou jamais…
Parmi les dispositions conjoncturelles, mon époux avait aménagé un lit amovible dans le salon, il ne fut pas ...
... utile. Peu après avoir couché Valérie, je me pointai en nuisette ultracourte, transparente et sans rien dessous. Jean-Yves se dressa d’un bond dès mon entrée ; il resta debout, bouche grande ouverte, sans rien dire. Une proéminence prometteuse gonflait l’avant de son short. J’avoue que tout cela chatouilla agréablement mon ego autant que ma libido, je pris la main du benêt et le guidais jusqu’à la couche conjugale.
Mon premier soin au pied du lit, fut pour dégager ces attributs sur lesquels j’avais tant fantasmés. Je ne sais plus s’ils étaient conformes à mes attentes, je crois me souvenir les avoir imaginés plus impressionnants qu’ils n’étaient mais ils n’en étaient pas moins remarquables. Pardonnez si je m’emberlificote les neurones, je tergiverse parce que depuis cette époque, il est passé de l’eau sous les ponts et j’ai connu mieux mais au moment, n’en doutez-pas, je découvrais la huitième merveille.
Loin de moi, l’idée de faire un comparatif en ce domaine mais il me faut bien reconnaître que mon pauvre mari, aujourd’hui défunt, paix à son âme, ne supportait pas, mais vraiment pas la comparaison, et peu importe qu’on considère le volume, la longueur ou la grosseur sans compter la vigueur, la raideur, je veux dire.
Parlons-en de celle-ci, le morceau que j’avais en main était du béton. Je salivai rien qu’à le toucher. Je ne sais comment vous dire, son machin me parut indestructible. Au reste, je défie quiconque du genre féminin qui prétendrait rester de marbre face ...