Les grosses bites
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
grossexe,
noculotte,
odeurs,
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Mamadou, Source: Revebebe
... à l’obélisque que je manipulai ce soir-là. À contrario, j’avoue que mon référentiel était calé sur le genre couille molle ; je vous accorde que ça peut fausser le jugement.
Á l’époque je détestais sucer, mais face à tant de noblesse, je n’ai pas résisté, croyez-le ou non, j’ai embouché son gland, le mignardant de mes lèvres et de ma langue. Le pauvre malheureux ne savait pas où se foutre.
— Y faut pas faire ça madame, pas ça, geignait-il, l’embarras le disputant au plaisir.
Il essayait mollement de se défiler mais comme je le tenais par les roubignoles, il ne risquait pas d’aller loin si tant est qu’il en ait eu l’envie.
— Appelle-moi Annie, régurgitai-je en interrompant la fellation le temps nécessaire.
— Oui, madame, approuva-t-il entre deux râles, preuve s’il en était besoin, que je n’étais pas une si mauvaise suceuse malgré mon inexpérience.
Question du prénom ? Autant parler à un mur ! D’autres disent :« parla à moun tyu, la teste mi dau. », c’est de l’occitan phonétique, traduit en français :« parle à mon cul, ma tête est malade ». Jamais je ne parvins, ne serait-ce qu’une fois, à le faire m’appeler Annie. J’étais madame et restai madame envers et contre tout, même avec sa queue dans ma bouche et tout pareil quand elle était dans mon cul.
Je me souviens que j’espérais qu’il me fasse quelques petites gâteries mais je dus déchanter, point de caresse, point de cunnilingus. Je devinai que lui aussi manquait d’expérience. L’idée de parfaire sa formation ...
... me vint bien sûr, mais sur ces entrefaites je pressentis son impatience ; l’obélisque irradiant une énergie inusitée, me fit craindre une décharge prématurée. C’était ma première fois avec le bonhomme, je le connaissais mal ; j’appris par la suite que chez lui, le réarmement était automatique et que le nombre de cartouches tirées ne faisait pas souci, vu la provision du chargeur. Un sacré pistolet ! C’était vraiment un autre univers, une autre échelle, une autre dimension, sans aucun rapport avec celles que j’avais connues auparavant.
Toujours est-il que j’en étais encore à ma théorie :éjaculateur précoce = frustration, ignorante du fait qu’il bénéficiait d’un potentiel inépuisable, je l’invitai donc à me couvrir au plus vite, ce qu’il fit, me pénétrant dans la foulée. J’en eus le souffle coupé et quelques menus douleurs ; encore une lacune de son éducation à laquelle il me faudrait remédier.
En attendant, j’avais sa queue dans le ventre et pas la moindre envie de la laisser filer même si j’imposai un instant de répit, histoire de récupérer. Il piaffait. Je libérai le fauve, mal m’en prit, un chien fou. J’utilisai mes cuisses et les coinçai en étau autour de ses hanches, espérant le modérer, en vain, il poursuivit de plus belle, me défonçant d’autant mieux que ma posture, jambes en l’air, autorisait une pénétration plus profonde, je râlai et râlai aux deux sens du terme le premier pour le contentement et le second pour le mécontentement – pitié, ne me dites pas, comme ...