1. Les grosses bites


    Datte: 03/03/2020, Catégories: fh, couleurs, grossexe, noculotte, odeurs, pénétratio, confession, extraconj, Auteur: Mamadou, Source: Revebebe

    Hôtel Rabelais, Bamako, le 9 novembre 2010,
    
    Ma première expérience extraconjugale ? Mon Dieu, mon Dieu, ça remonte à une éternité, Valérie, ma fille, n’avait pas six mois, elle a presque trente ans aujourd’hui.
    
    J’avais suivi mon époux, VSN – Volontaire du Service National – affecté au service de la coopération culturelle et mis à la disposition de la République Togolaise. C’était du moins ce qui était porté sur sa feuille d’affectation, un peu longuet, je vous l’accorde. Disons pour faire court, qu’il servait comme prof à Lomé, en contrepartie d’un salaire de misère, lequel du reste n’était pas même un salaire mais une indemnité.
    
    Pour arrondir les fins de mois, je dégottai un travail à mi-temps dans une agence UTA, une compagnie aérienne qui n’existe plus de nos jours. On ne roulait pas pour autant sur l’or ; nous n’avions pas de boy et autre domestique comme les expatriés mieux nantis. En place, nous faisions appel à des étudiants pour garder Valérie quand nécessaire. C’était comme cela que je connus Jean-Yves ; il s’imposa comme notre unique baby-sitter du fait de sa disponibilité.
    
    C’était un garçon d’une vingtaine d’années, un peu plus jeune que nous, grand, plutôt bien charpenté, des traits réguliers qui dessinaient une frimousse sympathique où flashaient deux grands yeux naïfs et tendres. Il venait d’avoir son bac et s’accordait une année dilettante, disait-il, en vue de caler son orientation définitive ; c’est dire s’il était disponible.
    
    Quoi qu’il en ...
    ... soit, ce n’était pas parce qu’il était disponible que nous avons eu des rapports. Je n’étais pas gourgandine à ce point même si je reconnais que j’étais pas mal délurée avant mon mariage, mais depuis je me tenais à carreau. Du reste si j’avais voulu courir je n’aurais pas guigné un domestique, et sincèrement, je n’avais de prime abord aucune mauvaise intention à l’égard de ce garçon. Je disais donc que le ver du péché était venu de manière plus insidieuse.
    
    Á l’époque, je suivais un régime et m’imposais toutes sortes d’exercices physiques dans le cadre de mes tentatives pour retrouver la ligne. Il me fallait effacer les dernières séquelles de ma grossesse. C’était dans cet état d’esprit que j’avais pris un abonnement à la piscine, et considérant les contraintes de transport aussi bien que celles du baby-sitting, je pris l’habitude de regrouper mes activités extérieures si bien que j’allais nager à la sortie du boulot, une heure voire une heure et demi puis je rentrais libérant Jean-Yves, lequel, il me faut le dire, n’était pas particulièrement pressé, puisqu’il continuait à traîner dans l’appartement jusqu’à l’arrivée de mon époux.
    
    Donc, mon programme était tracé : permanence à l’agence de 12h00 à 16h00 et piscine ensuite – elle était tout à côté du bureau – jusqu’aux alentours de 17h30. Je portais mon maillot de bain sous mes habits, c’était plus pratique. Je rentrais ensuite, sans sous-vêtement, faute de rechange ; affaire de praticité, encore, et un peu de convenance ...
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