Histoire d'O et d'A - Histoires de Sexe

Histoire d'O et d'A

... Ne me dis pas que…
— Ben si ! Je disais ça pour plaisanter. Je n’aurais jamais cru que ces deux-là… Ben… je pensais qu’on se serait bien marré à les voir tous les deux si coincés…

Je m’énerve un peu plus :

— Je te rappelle que c’est TOI qui lui as demandé de s’habiller en pute afin d’exciter mon homme et que c’est aussi TOI qui as pondu ce plan bancal de pâtisseries oubliées pour les laisser seuls, elle et lui…
— Nous avons quand même un atout dans notre jeu.
— Ah bon, lequel ?

Fièrement, il me désigne la tablette :

— Figure-toi que ça enregistre tout sur une mini sim. On peut stocker jusqu’à douze heures de vidéo, on a de la marge ! Une nuit complète, t’imagine ?
— Vicieux jusqu’au bout ! Au moins, on aura une preuve… Oh putaiiin, ils y vont de bon cœur ! Y a pas à dire, t’as parfaitement réussi ton coup !
— Je vois ça ! Ah la vache, ça me fait tout drôle de voir ma femme baiser avec quelqu’un d’autre !
— Pour l’instant, ils ne font que de s’embrasser, mais si on n’intervient pas, ils vont effectivement finir par baiser !

Mon mari pelote Alice qui se laisse faire, leurs bouches rivées. Puis Olivier prend l’initiative de clore leur long baiser, il s’enfonce alors dans son cou, couvrant de baisers brûlants la nuque, les épaules et même l’orée du décolleté largement offert, tandis que, visiblement ravie, Alice se laisse faire. Sans vergogne, mon homme capture un sein pour en éprouver le moelleux, tandis que sa partenaire glisse une jambe sur celles ...

... d’Olivier.

Mi-agacée, mi-amusée, je fais remarquer à mon amant :

— Ta chère femme va se retrouver à poil dans quelques instants… surtout qu’elle n’a pas grand-chose sous sa robe !
— Franchement, je ne sais pas ce qu’il faut faire… je… ça me dépasse… Les arrêter, ou laisser faire pour mieux les tenir ?
— Que mon homme reluque ta femme, soit. Qu’il lui fasse des bisous, c’est limite, mais qu’il la baise, là, je suis moins d’accord !

Soudain, les yeux toujours rivés sur l’écran, je m’exclame :

— Ah bordel de merde !

Sur l’écran, Alice vient de poser délibérément sa main sur la bosse du pantalon de mon homme, caressant le sexe de mon mari par-dessus le tissu. Je me tourne vers mon amant, persiflant :

— Je croyais que ta femme était une sainte nitouche, et que ça resterait virtuel !
— Oui, je constate ça comme toi. Et ton homme prend des initiatives, lui aussi !

En effet, Olivier vient d’abaisser la robe bustier, révélant deux mignons seins qu’il s’empresse de caresser, de peloter et d’embrasser ! C’est Alice qui le rappelle à la raison, le son étant étonnamment bon, ce truc-espion n’est assurément pas de la camelote :

— Olivier, stop ! Stop ! Ils vont bientôt revenir !
— Juste une minute de plus, Alice ! Tu es si tentante, si voluptueuse !
— Merci, merci, mon Olivier, mais là, ça devient dangereux ! ils vont finir par nous surprendre !

Mon homme s’empare à pleine bouche d’un sein, il le dévore, l’engloutissant à moitié dans sa bouche vorace. Alice glousse ...