Histoire d'O et d'A - Histoires de Sexe

Histoire d'O et d'A

... entrées.

Je le pompe comme il aime, tout doucement au début, très, très lentement. Parfois je délaisse sa queue pour aller gober ses couilles et les caresser avec ma langue, suavement.

— C’est vraiment bon, ça. Y a pas à dire, t’es vraiment une bonne suceuse, Opaline !
— Merci, Alex !

Je le regarde droit dans les yeux en souriant. Puis je reprends sa bite dans ma bouche, je pose mes mains sur ses cuisses nues et je commence à accélérer le rythme. Tout ceci dure un certain temps et il finit par me demander d’arrêter pour ne pas éjaculer tout de suite. Je suis fière de moi, je suis loin d’avoir perdu la main !

Il reprend ses esprits, tentant de calmer les soubresauts de sa verge, signe qu’il était très près de craquer. Quelques instants plus tard, il parvient à stabiliser. C’est alors, toujours fidèle à son manque de bonnes manières, qu’il ordonne :

— Je veux t’enculer sur ton lit !
— Ah bon ?

Il me prend par la main, m’aidant à me relever, puis il m’emmène dans ma chambre. Il ôte rapidement mon top transparent, je le débarrasse de sa chemise puis de son pantalon sans oublier son caleçon. Il est à présent nu, sa virilité triomphante.

— Allez, Opa, mets-toi en levrette !

Je me mets à quatre pattes sur le lit, il fait le tour de ma petite personne, pour me contempler sous toutes mes coutures. Puis après avoir maté à son saoul, il abaisse alors mon short et découvre enfin le rosebud qui orne mon entrée des artistes. Là, il devient fou !

— Oh putain, ...

... la pute ! C’est trop beau ! Oh, ma salope, ce que c’est beau. T’es trop belle !
— Ça te plaît ?
— Si ça me plaît ? C’est superbe ! Je te savais chienne, mais là… c’est… c’est trop bon !

Il commence à jouer avec, le faire tourner, à tirer dessus. Avide, il essaie de l’enlever, et après quelques essais infructueux, il me dit :

— Ça ne sortira jamais, il est énorme, ce truc ! Tu es condamnée à vivre avec tout le temps avec ce machin dans ton cul. Que c’est excitant !
— Je te signale qu’il faudra bien que tu l’enlèves si tu veux m’enculer…
— Ah oui… pas faux…

Il s’attelle à la tâche, puis posément, tire dessus afin de l’enlever de mon petit trou. À sa grande surprise, le bijou sort sans trop d’efforts.

— Putain, c’est magnifique. Comme tu es ouverte, ma chérie ! Tu sais que tu pourrais te prendre deux bonnes grosses queues dans le cul sans problème ?
— Tu veux essayer ?

Il se contente de rire. À présent, il joue avec le rosebud, le place à l’entrée de mon petit trou qui ne l’est plus vraiment, puis il l’insère un peu, le retire et recommence, tout ceci plusieurs fois. Un grand gosse avec son nouveau jouet ! Finalement, Alex finit par le replacer entièrement, rebouchant ainsi mon entrée interdite.

— Suce-moi, ma petite pute.

Il s’allonge sur le lit, sa bite comme i majuscule. Docile, je m’exécute. Après quelques succions, il me demande, alors que j’ai la bouche pleine :

— T’es ma petite pute ?
— Wi, ‘eu ‘uis ‘a ‘eu’i ‘u’eu ! (pas facile de parler avec ...