1. Rut dans le bush, bouche en rut. (1)


    Datte: 29/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... minables.
    
    Plus loin les fenêtres de la salle collective, où se trouvent les cuisines, le réfectoire et les salles de détente étaient toutes allumées. Quelques habitués y jouaient peut-être au billard ou regardaient la téloche.
    
    M’étant convaincue que je ne risquai rien, je baissai mon short pour me faire plaisir plus franchement.
    
    A l’intérieur, la disposition avait changé. Le passif s’était mis debout, appuyé contre la table, légèrement penché et l’autre continuait à le sodomiser avec entrain. Comme ils ne pouvaient pas me voir, je décidai de m’approcher pour mieux apprécier les détails de leur accouplement et je m’agenouillai, toujours après avoir regardé aux alentours, sur le banc.
    
    Je décidai de me caresser les tétons.
    
    Ainsi libérée, ma chatte attira la convoitise du chien et il se mit à me la lécher. Je l’avais complètement oublié ce quadrupède ! Je poussai un petit cri de surprise puis je me mis à lui parler très bas.
    
    - Qu’est-ce que tu fais là toi, vicieux? dégage Chifley, dégage !
    
    La peur de me faire surprendre aurait dû m’amener à fuir mais les deux mecs continuant à baiser sans me voir et les autres ne devant continuer à jouer ou ne rentrer que très tard, et ivres probablement comme j’étais en droit de le supputer, je perdis toute prudence.
    
    Je laissai donc le chien s’amuser et ouvrit même plus grand mon intimité. Je dus me pincer les lèvres pour ne pas crier mon premier orgasme clitoridien. C’était tellement mieux que lorsque je me ...
    ... câlinai !
    
    Pendant qu’il me procurait ce plaisir intense dont j’avais été trop longtemps privée, je m’excitai à tel point que, me frottant le corps énergiquement, j’en fis tomber mon bracelet.Aussi, dès que l’ivresse linguale décrut, je me mis immédiatement à le chercher, de peur de l’oublier plus tard. Je me mis donc à quatre pattes pour fouiller à tâtons. Au moment ou je le touchai, le chien me grimpa.
    
    J’essayai aussitôt de me dégager mais il s’abattit sur moi de toute sa masse. Malgré ma mouille et ma transpiration, je sentis l’extrémité de sa verge, chaude et poisseuse, contre mes globes fessiers.
    
    Je ne voulais pas me relever brusquement de peur d’être vue par les gars dans la pièce, au cas où ils auraient changé de position. Je décidai donc de ramper en avant pour échapper à la lueur projetée vers l’extérieur, mais, ce faisant, je me redressai un peu et remontait mon cul. Le hasard fit le reste. La queue du chien glissa vers le bas et vint exactement entre mes deux lèvres où elle s’immisça. J’étais déjà tellement humide que, dès que la bite fut à cet endroit, elle s’enfonça d’un coup dans la masse. Elle était longue et épaisse. J’étais fermée du trou depuis des mois en dépit des godes de fortune que j’avais pu trouver et qui m’avaient été une faible consolation. C’est comme si on m’avait dépucelée d’un coup; je ne pus retenir mon cri.
    
    La bite fut cependant bloquée dans son élan par une énorme excroissance qu’elle portait à sa base. Mais le chien était puissant. Il poussait ...
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