1. Rut dans le bush, bouche en rut. (1)


    Datte: 29/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... pouvais trouver. Et plus je tentai de tromper ma solitude, plus j’avais envie de ces hommes. Tous ! Aucun ne m’était indifférent. Si je préférais le visage de celui-ci, je bavais d’envie pour les fesses de celui-là et louchais sur la bosse de tel autre. Tous je les eusse voulu dans mon lit.
    
    J’étais tellement en manque que je me mis à désirer même les chiens des deux aborigènes. Ils n’appartenaient à aucune race mais c’étaient des dogues hauts et puissants, parfaitement dressés, qui était doux comme des agneaux avec les hommes mais qui auraient mis n’importe quel animal en pièces. Ils obéissaient au doigt et à l’œil à leurs maîtres. Je les connaissais bien. J’aime les bêtes et comme j’arrivais à m’entendre avec leurs maîtres, je pouvais les approcher facilement, jouer avec, et même me promener seule en leur compagnie quand on me les prêtait, sans craindre une mauvaise rencontre.
    
    C’est le 26 janvier que tout a basculé. C’est "l’australian day", la fête nationale; Les aborigènes étaient partis et m’avaient confiés leurs animaux.
    
    La soirée était chaude. J’étais peu attirée par les festivités locales, ne me sentant pas concernée et j’avais accepté de garder les chiens. Le village était à peu près désert. En passant devant le bungalow du contremaître, j’entendis des bruits non équivoques, des bruits de rut. Film, réalité ? Je m’approchai et reconnus la voix des deux hommes :
    
    - Fuck me , yeee, fuck me, harder, harder. I want your dick deeper and deeper. OH ...
    ... yeeee, yeee, fuck me...
    
    Et l’autre répondait avec un accent espagnol assez prononcé.
    
    - You want my dick, bitch ... my big dick... take it, slut !
    
    Chaque bungalow est équipé d’une petite galerie sur l’avant qui protège les ouvertures de la lumière directe du soleil ou des pluies diluviennes qui s’abattent parfois sur la région. Je m’approchai à pas de loup.
    
    Je pris appuis sur le petit banc, en dessous de la fenêtre, mais pas trop près pour que la lumière qui venait de l’intérieur ne m’éclairât point trop.
    
    La scène était torride. Le contremaître était allongé sur la table, les jambes repliées vers lui et l’autre lui donnant de longs coups de queue. Il m’était difficile de bien voir les bites mais le contremaître manifestement branlait la sienne pendant que l’autre, dont les magnifiques fesses blanches se détachaient par contraste avec sa peau mate, l’enculait vigoureusement.
    
    Pour la première fois de ma vie, j’avais envie d’être un garçon et de me faire prendre sauvagement comme le gars dans la pièce.
    
    Je n’y tins plus, je plongeai la main dans mon short, après avoir attaché le chien à un montant du petit banc et commençai à me tripoter le con.
    
    J’étais déjà toute trempée. La sueur, la mouille, les deux sans doute.
    
    Mon short me serrait un peu trop. Je regardai autour de moi. La nuit était de plus en plus noire et la plupart des bungalows étaient éteints. La majorité des gars avait dû se rendre à la petite ville la plus proche où il y a un ou deux bars ...
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