1. Le sport a deux avantages... euh, non, trois !


    Datte: 29/02/2020, Catégories: fh, fbi, fplusag, jeunes, inconnu, grosseins, nopéné, init, Humour prememois, Auteur: Izomy, Source: Revebebe

    ... plaies sont propres. Tu bouges pas, je reviens, je vais te chercher un nouveau short, je n’en ai pas pour longtemps. Si tu veux quelque chose, tu demandes à Chloé, elle se fera un plaisir de te l’apporter. OK ?
    
    Le temps que mon cerveau trouve le mot « oui », encore excité par ce qu’elles se sont dit en privé, la porte avait déjà claqué et Amélie devait déjà être loin.
    
    Ces deux beautés ensemble, les envies de sexe de l’une d’elles, cette dernière prête à franchir le pas avec moi, l’autre qui n’était pas particulièrement contre l’idée si ce n’était ma prétendue jeunesse, ces deux-là n’avaient pas leur sexualité dans leur poche. Alors que je me remets de toutes ces émotions, mon corps me rappelle d’un coup et sans prévenir, qu’il ne faut négliger aucune étape du sport intensif : une violente crampe dans le mollet droit se manifeste, me laissant échapper un cri aussi bref qu’intense.
    
    Alors que je me penche en avant pour tenter d’attraper mon pied pour tendre ma jambe afin de soulager mon mollet, Chloé accourt, alertée par le bruit et apparemment comprend rapidement la situation, vu qu’elle se précipite sur ma jambe droite et de manière très adroite la tord d’une certaine façon qui a pour effet de faire baisser la douleur de manière très significative.
    
    — Ça va mieux ? me demande-t-elle.
    — Oui, oui…
    — Tu n’as pas eu le temps de faire tes étirements après le sport, non ?
    — Bah non, en fait.
    — Je suis kiné, Amélie et moi on s’est rencontrées à la fac de médecine. ...
    ... Donc si on ne fait pas des étirements après le sport, on s’expose à des crampes voire à des contractures musculaires. Pense aussi à beaucoup boire d’eau avant et après chaque activité sportive, me dit-elle tout en manipulant mon mollet.
    
    La douleur se dissipant, j’ai tout le loisir d’admirer la naissance de son imposante poitrine par l’échancrure de son décolleté ; ses seins tendent le tissu de son top, je suis comme hypnotisé. De plus, le contact de ses mains sur mon mollet soulage autant ma douleur qu’il n’accentue mon émoi. Il est impossible qu’elle ne le remarque pas, étant à peine à quelques centimètres de mon entrejambe et de mon short déchiré qui ne cache presque rien. Elle me masse maintenant le mollet de manière très professionnelle : afin de prévenir d’autres crampes, me dit-elle.
    
    Petit moment de flottement, où aucun mot n’est prononcé et où elle masse le même endroit plus qu’il ne me paraît nécessaire.
    
    — Eh ben dis donc ! On peut dire qu’elle ne t’a pas raté ! dit-elle un peu précipitamment, comme pour combler un blanc qui commençait à devenir un peu gênant.
    — C’était un accident, elle n’y est pour rien…
    
    Je regarde un peu mes pompes, n’osant pas la regarder dans les yeux, ni ailleurs.
    
    — Bah j’espère quand même ! Une sombre histoire d’écureuil à ce que j’ai compris, c’est ça ? Elle force un peu le trait, histoire de se donner une contenance.
    — C’est compliqué…
    
    Elle tente de me mettre à l’aise, mais je suis vraiment trop timide et peu de mots sortent ...
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